Nuit blanche - Histoires de Sexe

Nuit blanche

... retrouvai vraiment comme un con, avec ma queue toujours infiniment gonflée qui regardait le plafond.

— Pfff !
— Ha ha ha ! me répondit ingénieusement Bazouk.
— Toi si tu veux pas te prendre du sel sur la tronche, tu vas lancer un sort à la vieille pour qu’elle dorme pendant un ou deux jours, d’accord ?

Il partit en se marrant. J’enlevai ma capote embaumante et retournai dans la salle de bains chercher mon peignoir. J’avais toujours une gaule infernale. Quand je rejoignis tout le monde dans le salon, la mémère dormait vigoureusement, étendue sur le canapé, tandis qu’Azura et Pandore se frottaient les yeux en se demandant ce qui se passait. Bazouk me tomba presque dessus :

— Je n’ai pas eu le temps d’intervenir, elle s’est écroulée toute seule.
— Bon débarras !
— Oh, Gufti ! fit Aurélie sur un ton sévère.
— Bon, on y retourne, fis-je en retirant à nouveau mon peignoir.

Aurélie se marra mais ne s’agenouilla pas devant moi comme je l’avais espéré.

— Non, mon amour, je suis complètement crevée… je vais aller dormir un peu quand même…
— Ben et moi ? Je fais quoi ? questionnai-je en désignant mon sexe toujours radieux.
— J’sais pas, t’as qu’à ...

... aller te branler… se marra Aurélie.

Elle vint me rouler une pelle, puis s’adressant à ma queue, agita la main en rigolant :

— À demain…

Je demeurai bêtement à poil en la regardant s’éloigner. Azura bâilla distinctement. Je les regardai, elle et Pandore.

— Alors, bien dormi, les filles ?
— Hmmmouiiii, fit Pandore en s’étirant.
— Ça vous tente ? fis-je désignant ma queue.
— Hmmm oui… toujours… répondit Azura en souriant avec provocation.
— Attendez, je reviens…

Talonné par Bazouk, je courus jusqu’à la chambre où Aurélie s’était déjà étendue sur le lit. Elle sursauta lorsque j’entrai.

— Excuse-moi, ma puce, je viens juste t’emprunter ton lubrifiant et tes capotes.
— C’est pour ma mère ? bredouilla-t-elle en se marrant.
— Râgnagna ! répondis-je sur un ton faussement agacé.

Je l’embrassai encore puis retournai jusqu’au salon. Les ronflements de la vieille étaient parfaitement insupportables, aussi décidai-je de convier Azura et Pandore jusqu’à la salle de bains. Je les fis s’appuyer en avant sur le lavabo et, en étalant un peu de gel sur leur derrière, leur expliquai :

— Je vais vous montrer quelque chose, vous allez voir, c’est génial !