1. Nuit blanche


    Datte: 24/02/2021, Catégories: fh, ffh, Oral pénétratio, fsodo, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... d’abord lentement, presque délicatement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort, variant les positions jusqu’à jouir tous deux en même temps dans des hurlements entremêlés.
    
    — Je t’aime… me dit encore Aurélie.
    
    Et puis Bazouk nous accueillit quand on redescendit sur terre :
    
    — Bravo ! C’était vraiment beau !
    — On t’a pas sonné !
    — Merci pour le coup de main, fit Aurélie en lui lançant un clin d’œil et un sourire qui le firent clignoter.
    — Pffff ! fis-je encore en regardant ma bite qui ne dégonflait pas d’un iota.
    
    Aurélie s’en était également aperçue et se payait ma tête :
    
    — Oh mon Gufti ! Je vois que tu as encore envie de moi… Comme c’est excitant !
    — Dis donc, Bazouk, ça va durer longtemps, ça ?
    — Non, ça finira par passer et tu devras quand même sans doute dormir un peu. Mais en attendant, profites-en !
    
    Je regardais Aurélie qui se caressait doucement les seins en rêvassant à moitié. Je repensais aussi à Azura et à Pandore qui dormaient à l’autre bout de l’appart… Mouais… finalement, il avait raison. Mais d’un autre côté, les filles seraient peut-être pas complètement ravies d’être réveillées à coups de bite… Et puis aussi j’avais quand même vraiment envie de dormir. C’était bizarre, d’ailleurs, parce que j’avais effectivement juste "envie" de dormir, et plus "besoin". Mon regard retomba sur Aurélie qui continuait à se peloter doucement, les yeux dans le vague.
    
    — Ma chérie, lui dis-je en prenant un ton cérémonieux, comme c’est grâce à toi ...
    ... que je suis dans cet état, je vais m’offrir ton petit cul !
    
    Elle ne répondit rien et continua de se caresser les seins, mais cette fois plus ardemment et en me fixant droit dans les yeux. Puis elle se lécha les lèvres en trémoussant son bassin avec provocation. Je la fis se retourner et s’agenouiller et me mis derrière elle pour la doigter doucement. De ma main libre, je parvins à ouvrir la table de nuit où je savais qu’Aurélie planquait des capotes. Et j’y trouvais même du lubrifiant. Parfait ! En continuant de la doigter, je m’enfilai péniblement un préservatif (ils étaient trop petits, ceux d’Aurélie… je sais pas qui elle avait l’habitude de voir, mais moi, il m’en fallait des plus grands…) et réussis à ouvrir le tube de gel ; je lui en déposai un peu sur le derrière et commençai à masser doucement son anus.
    
    Quand elle fut prête, je pénétrai lentement son petit trou, laissant Aurélie bouger à son gré, imprimer les premiers mouvements. Et bientôt je la défonçai avec force tandis qu’elle ahanait à chaque va-et-vient. Elle aimait ça, la cochonne ! Et c’était bon ! Étroit, serré, excitant…
    
    — Ah bah vous êtes là ! entendîmes-nous soudain.
    
    Nous sursautâmes en voyant arriver tranquillement dans la chambre son emmerdeuse de mère qui décidément n’en loupait pas une…
    
    — Je pensais que vous dormiez, mais vous étiez en pleine action…
    
    J’hésitais à me retirer et à me planquer sous la couette, mais c’était peut-être finalement moins obscène de ne pas bouger et de rester ...