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Nuit blanche
Datte: 24/02/2021, Catégories: fh, ffh, Oral pénétratio, fsodo, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... collé contre Aurélie, la queue bien plantée en elle. Ma partenaire dut se dire la même chose, car elle demeura parfaitement immobile. — Maman, tu fais chier, tu pourrais prévenir quand tu débarques… — T’aurais dû lui confisquer ses clés… reprochai-je à Aurélie. — Vous inquiétez pas pour moi, continuez, faites comme si j’étais pas là… — Ben c’est facile à dire… La mémère nous contourna pour observer minutieusement ce que nous étions en train de faire. — Ah mais il t’encule ! J’avais pas vu… T’es une sacrée cochonne, dis donc, toi, hein ! À ton âge, j’étais plus sage… Ça promet ! Oh là là ! Et en prime, elle puait la bibine ! — Maman, tu veux bien nous laisser un peu d’intimité ? — Ah, tiens, salut ! fit-elle soudain en apercevant Bazouk. C’est une partouze, en fait… Agacé, je me repris mes mouvements de va-et-vient comme si l’autre emmerdeuse était pas là. — Ah mais dis donc, il a une sacrée belle queue, ton Gufti ! Tu veux toujours pas me le prêter un peu ? — Jamais ! râlai-je. Plutôt mourir ! — T’avais paaaaaâââaaas… dit que tu… hmmm ! … dormais chez les… hmmm ! … chez les voisins ? s’enquit Aurélie. — Si. D’ailleurs, on a vraiment passé une soirée incroyable ! J’ai jamais pris mon pied comme ça… Je vous montrerai les photos demain… Je me dis que les sorts d’apaisement de Bazouk devraient sans doute être revus quelque peu à la baisse… — Mais là ils sont partis bosser… poursuivit-elle imperturbablement. Je sais ce que vous pensez, qu’ils ...
... devraient déjà être en retraite, mais que voulez-vous… avec les nouvelles lois, on est déjà obligé de bosser jusqu’à bien plus de soixante ans. — Mais on s’en fout ! gueulai-je. Foutez le camp ! Mais elle se laissa choir lourdement sur le lit en soupirant : — Pffffioooouuh ! Je suis complètement bourrée, en fait… — Oui, merci, on a remarqué… Mais elle continua tranquillement, en bégayant presque : — Du coup, j’étais à la porte, je me suis dit que vous m’accueilleriez bien. Mais je vois que le lit est pris, je vais aller dormir sur le canapé, tant pis… C’est qui, alors, ces filles toutes nues, dans le salon ? Quelle emmerdeuse, quand même ! Mais ni Aurélie ni moi ne faisions plus attention à elle ; on ne lui répondit rien ; on continuait de baiser comme si elle était pas là… — Et c’est quoi, tout ce fric, par terre ? — Ça vous dit pas d’aller dormir dans votre voiture ? proposai-je enfin. — Gufti ! m’engueula Aurélie en s’arrêtant de bouger. Elle se retira même de mon étreinte et se leva du lit, m’abandonnant la queue bêtement tendue devant moi. — Ouaouh ! fit la vieille peau. J’ai jamais vu une bite comme ça ! Elle émit un puissant rot, puis fit mine de s’approcher du lit avec un grand sourire affamé. Je me reculai vivement en criant : — Arrière ! Aurélie, fais quelque chose ! Elle attrapa sa mère et l’engueula doucement en la virant de la chambre. J’espérai que ma chérie revînt, mais elle emmena apparemment la vieille jusqu’au salon. Je me ...