1. L'impromptu du Bois d'Amour (1)


    Datte: 23/02/2021, Catégories: f, ff, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fdanus, jouet, jeu, attache, baillon, yeuxbandés, fsoumisaf, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... Sylvie posa là le sac de voyage. Rapidement, Corinne se prit au jeu et, se rappelant quelques-unes des caractéristiques du projet, improvisa des commentaires.
    
    — Vous avez ici la salle à manger ; il y a un coin salon et une cuisine américaine. Je vais ouvrir les volets… Voilà, vous avez un grand balcon.
    — Il est grand, effectivement. Il donne plein Sud ?
    — Oui. Et le bois en dessous est un espace naturel classé. Vous le voyez, il n’y a aucun vis-à-vis.
    — Alors on peut se promener toute nue dans la maison sans risquer d’être vue ?
    — Oui, rougit Corinne, je crois…
    — Vous ne faites jamais ça ?
    — Si, bien sûr… Mais je ne me suis jamais posé la question…
    — Et on peut aussi faire du naturisme sur la terrasse ?
    — Oui, si on veut, répliqua Corinne en étouffant un petit rire.
    — On est bien ici… Vous me montrez le reste de l’appartement ?
    
    Elles terminèrent par la plus grande des deux chambres à coucher, équipée notamment d’un large dressing entièrement recouvert d’un miroir qui occupait tout un pan de mur. Le grand lit avait un cadre en métal sobrement ouvragé – tête et pieds à barreaux – et il était couvert d’un large plaid imitation fauve.
    
    — Alors, Madame ? Qu’en dites-vous ?
    — Je pense qu’il me convient tout à fait, répondit Sylvie. Je puis vous prendre en photo ?
    — Quelle idée !
    — Vous êtes une hôtesse de charme ; mon mari aime savoir avec qui je fais affaire.
    — Eh bien soit.
    
    Corinne se prêta donc au jeu des photographies, et Sylvie semblait y prendre un tel ...
    ... plaisir que le modèle improvisé se demanda si Sylvie n’allait pas lui demander de faire des photos dénudées ! Mais semble-t-il satisfaite de cet intermède, la photographe mit un terme à la séance et posa l’appareil sur le lit.
    
    — Vous permettez que je prenne quelque chose dans mon sac ?
    — Je vous en prie.
    
    Corinne accompagna Sylvie dans l’entrée et cette dernière fouilla dans le grand sac d’où elle tira un revolver en plastique grossier qu’elle braqua sur elle.
    
    — Mains en l’air, salope !
    
    Interloquée, Corinne leva immédiatement les mains et, se rendant compte que le jeu entrait dans une nouvelle phase, elle prit un air apeuré.
    
    — Mais, Madame, je ne comprends pas ! Que me voulez-vous ?
    — Je ne te ferai aucun mal si tu fais tout ce que je te dis. Ton sac à main !
    
    Corinne, qui l’avait gardé en bandoulière, le lui tendit puis remit les mains en l’air. Sylvie s’en saisit et, se détournant, s’agenouilla devant le sac de voyage, farfouilla vaguement à l’intérieur. Se retournant elle tendit à Corinne une paire de menottes qui n’étaient, elles, en rien factices…
    
    — Enlève ta veste et mets ça.
    
    Corinne obéit et referma un premier bracelet sur son poignet gauche. Le métal froid et dur lui fit une curieuse impression. Il y avait fort longtemps, jeune fille, elle avait découvert le trouble plaisir d’être attachée. Et fort longtemps qu’elle ne s’y était pas adonnée.
    
    — Les mains dans le dos ! ordonna Sylvie. Et suis-moi.
    
    Et elle referma le second bracelet sur son ...
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