1. SEULE DEVANT MA TV


    Datte: 22/02/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: Gargantuaz, Source: xHamster

    ... vigoureusement. Tel une machine, le rythme de ses déhanchés était enivrant. Dans ces instant de bestialité je deviens un esclave, soumise à ses moindre vices, ouverte à ses moindres fantasmes. Mon corps est à lui et il ne se gène pas pour en prendre possession. Et telle la spectatrice active de la scène, ma vision est des plus délicieuses. Se faire honorer de la sorte est le plus beau cadeau qu'on puisse faire à une femme. Je l'admire, essoufflé, s'offrant à 100%, s’engouffrant dans mon sexe avec délectation, léchant mes seins, les attrapant à pleine main, empoignant mes hanches pour me baiser encore plus profondément. Sa langue s'enroule autour de mes tétons et je sens l'orgasme pointer le bout de son nez. “ Plus fort, encore! Baise moi! prend moi! Oui !!!”. Je n'arrivais plus a réguler ma respiration comme si je courrais un marathon. Mais croyant discerner la ligne d'arrivé, le voila qui se retire, coupant net mon effort et me mettant dans un état de manque orgasmique qu'il n'est point possible de supporter. Je le supplie de continuer, de remettre sa queue entre mes jambes, de glisser dans mon vagin humide, de me prendre comme une chienne. Mais les actes vont plus vite que mes pensées et me voila a quatre pattes, cambré, acceptant a nouveau son pénis en moi.
    
    Il avait décidé d'écrire la dernière page de ce roman pornographique. M'attrapant la croupe il me tirait vers lui, frappant mes fesses chaudes, caressant mon dos. L'acte était si intense que j'avais l'impression ...
    ... qu'ils étaient plusieurs à s'acharner sur moi. Mais c'était bon, dieu que c'était bon. Dans cette position les sens sont tout autres. Ma tête reposant sur un coussin du canapé qui allait être le seul témoin de nos ébats, je sentais à nouveau cette chaleur m'envahir. “Frappes moi, prend moi,fais moi jouir”, lui dis-je. Les mots sortaient de ma bouche sans que je m'en rende compte. Les sensations prennent aussitôt une couleur plus électrique. Sa queue n'en finissant pas de me pénétrer avec v******e, ses mains s'agrippaient à mes épaules pour mieux m'enfoncer. Je sentais chaque coup de queue comme une surtension électrique de mon plaisir. J'étais comme perdu, je ne contrôlais plus rien, j'avais l'impression d’être comme sur un lit de coton, dans une brume molletonné. Les choses étaient immatérielles, le temps s'était arrêté. Je sentais les pulsations de mon cœur s'emballer dans un tourbillon de contractions, ma vision se voilait, des bouffées de chaleur remontaient le long de mon dos, de la même façon que les vapeurs chaudes glissent le long de votre peau lorsque vous vous prélassez dans un hammam. Je criais, dépassée par le plaisir, je haletais, dominée par ses coups de queue profonds et sec.
    
    Je jouissais
    
    Et dans cette confusion des plus complètes, perdues dans mon plaisir orgasmique, retombant peu à peu de cette altitude ou il venait de m'emmener. Récupérant une pression artérielle qui me permettait à nouveau de rassembler mes esprits, j'ouvris les yeux, doucement. Et ...
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