1. Un rendez-vous forestier


    Datte: 21/02/2021, Catégories: fh, forêt, amour, revede, pénétratio, Humour prememois, Masturbation Auteur: Imre, Source: Revebebe

    ... grands et on n’est pas perdus… Enfin pas encore, on ne sait jamais. Mais qu’importe où l’on se trouve, c’est le présent qui compte.
    
    Tous les dix pas environ, je m’arrête pour embrasser ma dulcinée. Et comme j’ai deux mains j’en profite pour les glisser qui dans le dos, qui sous sa jupette. J’adore cet endroit. Elle porte un string et je peux ainsi connaître la forme de ses fesses rebondies, qui m’excitent au plus haut point.
    
    Elle s’en rend d’ailleurs compte. Il faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer. Mon pantalon de flanelle aurait comme une petite (faut parfois être modeste) bosse sur le devant. C’est normal, docteur ?
    
    Si ça continue, ça va être Noël avant l’heure. Ce que je m’empresse de lui faire comprendre. Alors pour avoir l’heur de me plaire, elle ouvre ma braguette, comme si c’était déjà à elle (je ne vais pas l’en blâmer) et me masturbe à peine que j’en mets plein les feuilles d’un arbrisseau qui nous reluquait de ses branches aussi bien fournies que je le suis.
    
    Rouge de honte, je m’essuie avec un mouchoir en papier et remets l’engin à sa place initiale, sans l’avoir vertement (on est entouré de chlorophylle) enguirlandé intérieurement. Normal, on vient de passer Noël en août… Ce n’est quand même pas rien !
    
    — Désolé, je bafouille, la tête baissée.
    — Il ne faut pas, c’est un plaisir de se savoir désirée de la sorte… J’espère toutefois que tu vas encore la sortir, si je puis me permettre. Elle m’avait l’air bien de sa personne.
    — Ah, pour ça, ...
    ... elle ne dit jamais non.
    
    Notre balade se poursuit, sans un mot. Et de fil en aiguille… de sapin, nous voilà au pied de l’un d’eux, assis sur des troncs fraîchement coupés. Les baisers recommencent, toujours plus appuyés. Nos souffles s’accélèrent, comme ces locomotives qui marchaient au charbon de bois. La chaleur de nos corps nous emporte. Ma main ne peut s’empêcher de caresser ses tétons, qui pointent… Ah, si vous saviez comme ils sont excitants ! Un peu plus et ils traverseraient le léger tissu de son débardeur.
    
    Je ne me contrôle plus. Que voulez-vous ? Je suis quand même un être humain. Je lui retire son haut et je commence à téter ses seins, je les suce, les mordille, les touche avec mes mains. Elle me demande de les pincer. Je ne me fais pas prier. Elle est aux anges. Elle crie son plaisir. Jamais je n’aurais pensé qu’on ferait tout ça le premier jour. Et ce n’est pas encore fini. Ma virilité se fait à nouveau sentir.
    
    Par politesse, je lui demande si je peux l’honorer de mon sexe. J’en rajoute pour faire bien. Et je n’ai que pour seule réponse :
    
    — Baise-moi, je n’en peux plus. J’ai envie que tu me prennes, là, tout de suite.
    
    Pourtant j’avais, je pense, été réglo. Pas de folies, enfin presque. Et une demande en bonne et due forme… Mais puisque le temps presse, alors envoyons la cavalerie.
    
    J’ouvre pour la deuxième fois ma braguette et je soulève le court tissu qui recouvrait ses fesses. Je précise qu’elle est déjà en position de m’accueillir. J’écarte son ...