Banquière perverse (19)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... Quand ils me soulevèrent, l’idée me plaisait beaucoup ; j’adorais cette mise en scène où j’étais comme kidnappée ce qui me faisait mouiller comme une fontaine. Les mecs s’en sont amusés en faisant des commentaires bien salaces et en me mettant les doigts ce qui eut sur moi un terrible effet. J’ai eu un terrible orgasme au moment où ils m’ont déposé dans le coffre de la bagnole, avec quatre doigts dans la chatte et deux dans le cul. Ensuite, ils ont fermé le coffre et nous avons roulé pendant longtemps, puis la voiture s’est arrêtée dans un endroit gravillonné.
— Mais te ne savais pas où tu étais ?
— Bah non… ! Ils m’ont déchargé comme un vulgaire paquet de linge sale, je ne voyais plus de clarté à travers le bandeau et il faisait froid. Ils m’ont alors fait me courber sur le capot encore chaud de la voiture, et sur les ordres de Lacksimy ; il m’ont sautée. À tour de rôle ils se sont vidés en moi, une fois dans la chatte et une fois dans le cul, et vous me croirez si vous voulez, mais j’ai joui encore deux fois. Je trouvais que ce stage était super bien en fait, et que si je devais devenir votre esclave sexuelle ; j’ai pensé que j’allais vraiment m’éclater. Mais hélas.
Son visage est brutalement envahi de tristesse, et elle ...
... éclate en sanglots et bredouille des mots incompréhensibles.
— Allons calme-toi ! Mais que s’est-il passé pour que tu te mettes dans cet état, car jusqu’à présent ; il n’y a pas de quoi pleurer ! suppose Jelila.
Je prends la main de ma chérie :
— Allons ma chérie, calme-toi, prends ton temps ; je vais aller te faire un autre café.
Avec Madame j’échange un regard soutenu ; elle ne dit rien. Mais dans ces yeux et sur son visage je lis une grande expression de trouble, ces yeux sont humides.
— Non, ce n’est pas la peine ça va aller ; je préfère en finir rapidement.
— Tu en es certaine ?
— Oui ! Qu’elle continue car je veux comprendre ! insiste Madame.
— Oui, vous avez raison ; alors voilà. Après m’avoir bien sauté ils m’ont portée jusqu’à la cave, car maintenant je sais que c’est là qu’ils m’ont emportée ; après m’avoir attachée au plafond ils sont partis tous les trois.
Elle arrête son récit une nouvelle fois et éclate en sanglots.
Jelila me foudroie du regard, se lève de dessus le lit et nous dit :
— Je vais me doucher, Issam ! Essaie de la calmer pendant ce temps ; cette histoire ne me plait pas du tout ! Je reviens dans dix minutes !
Elle tourne les talons et sort de la chambre de Gladice.
[À suivre]