Banquière perverse (19)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... attachée en toute confiance et j’ai joué avec tout son corps.
— Et que lui as-tu fait ? Je demande.
Son histoire commence à me donner des envies, pour preuve ; je sens mon bout enfler gentiment accompagné de picotements et d’un léger écoulement de liquide préséminal.
— Humm… ! Je te reconnais bien, toujours le premier dès que les choses deviennent intéressantes !
— Eh …Je m’instruis… !
— C’est c’là oui…Bon, j’en étais où ? Oui ça y est…Je ne l’ai pas déshabillée, mais par contre, je l’ai attachée les bras et les jambes en croix aux pieds du lit. Ensuite je l’ai caressée à travers ces vêtements, je l’ai faite jouir ; et après ce fut mon tour. Elle voulait que je sois toute nue, je me suis entièrement déshabillée et comme elle, je me suis retrouvée attachée. Avant de me bâillonner elle m’a demandé si j’avais envie de trucs un peu chauds, et comme une conne j’ai dit oui ; alors elle m’a bandé les yeux.
Elle fait une pause, boit un peu de café et mord dans un croissant ; des miettes tombent entre ses seins, comme j’aimerais aller l’aspirer !
— Humm…Très bon ces croissants !... Ensuite elle m’a demandé si je voulais deux ou trois coups de bites, j’ai accepté ; j’n’aurais pas dû ! Au début c’était top, je me suis éclatée mais après je ne rigolais plus ; elle m’a fait prendre par tous les trous et ça a duré deux jours. Je ne voyais rien, je suis certaine qu’elle m’a fait prendre par plusieurs mecs et le pire c’est que j’arrivais à jouir presque à chaque fois ...
... qu’une bite me rentrait dans le cul ou le vagin.
Quand je lui demandais pour mon stage, elle rigolait en me disant qu’il ne commençait que le lendemain, et que c’était elle qui me donnerait les cours, mais je ne devais pas poser de question ; je devais être docile. Alors je me suis tenue tranquille, comme je prenais mon pied ; j’ai même pensé que Madame avait eu une belle idée avec ce stage ; que c’était sans doute un test d’endurance pour me préparer à une magistrale partouze. Au matin du troisième jour, elle m’a annoncé e que nous changions d’endroit, que devais lui faire confiance et me laisser faire. Elle m’a indiqué qu’elle préparait une sorte de pièce de théâtre porno où je serais l’actrice principale. Elle m’a alors attaché les mains, bandé les yeux et mis un bâillon et j’ai attendu, allongée toute nue sur le lit.
Ensuite, j’ai entendu deux hommes demander :
— Tu veux qu’on la saute tout de suite ?
— Non attendez, vous le ferrez à l’arrivée ; mettez-la dans le coffre de votre voiture !
— Comme ça, à poil …?
— Oui, elle adore ça ; et puis ce n’est qu’une esclave.
— Vous avez de drôles de jeux pour des filles !…Mais bon.
Je venais d’apprendre que je devenais être promue au rang d’esclave et qu’elle avait décidé de disposer de moi comme bon lui semblait. Cette idée me fit mouiller, et pour la première fois de ma vie, j’allais voyager dans le coffre d’une voiture, toute nue, pieds et poings liés, et pour couronner le tout j’étais bâillonnée et aveugle. ...