Banquière perverse (19)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... à lui enduire les cuisses par des mouvements circulaires de l’extérieure vers l’intérieure, puis je descends encore jusqu’au bout de ses orteils. J’adore masser ses pieds, et je sais que ce genre de palpation est très décontractante et reposante. Entre pouce et index, je masse un à un chaque orteil, puis je remonte par l’intérieure de ses cuisses pour atteindre son abricot.
Quand je touche son clito elle sursaute, jette sa tête en arrière, ferme ses poings et se cambre ; sur son visage ses yeux se froncent et elle se mord les lèvres, sa respiration devient plus profonde. Mes doigts sont juste devant son entrée, je pousse un peu, ils entrent en douceur ; son vagin est trempé de sa cyprine. Je continue l’introduction ; j’en ai mis deux et maintenant trois. Mon autre main lui caresse les seins, titille ses tétons, redessine ses globes ; puis elle redescend sur son ventre, son nombril où j’y verrai bien un joli piercing. Il pourrait être avec un diamant et une petite chainette avec de petites pierres. Mes doigts continuent leur exploration et forcent encore un peu son entrée ; ma main posée sur son ventre ressent les légères contractions résultant de ce que je suis en train de lui faire. Elle ouvre les yeux d’un coup, ses mains se contractent, son ventre vibre ; c’est l’orgasme qui est là, aussi violent qu’inattendu. Elle se tend sans un mot, sans un souffle ; à voir l’expression de son visage, je sais qu’il a été bon.
Je n’ai pas vu Madame derrière moi, elle pose sa main ...
... sur l’épaule et me chuchote :
— Issam, tu veux bien aller préparer le petit déjeuner pour trois et le rapporter ici ? S’il te plait, demande-t-elle.
— Mais…
— S’il te plait… reprit-elle d’une voix étranglée.
— Et votre fille ?
— Laisse-la, elle médite !
Partiellement rassuré, je me dirige vers la cuisine, passe devant la porte donnant accès à l’escalier de la cave, je tente de l’ouvrir mais elle est fermée à clé ! Dans la cuisine, je prépare le déjeuner sur trois grands plateaux petit déjeuner au lit que j’apporte dans la chambre de Gladice.
Telle n’est pas ma surprise de voir Madame assise sur le bord du lit, tenant la main de Gladice et lui déposer un baiser sur le front en lui caressant les cheveux ; j’entends la fin d’une conversation :
— Nous faisons comme cela ? semble demander Madame.
— Oui Madame, merci ! reprend ma chérie.
Je dépose les plateaux et installe le tout sur le lit, Madame me sourit et Gladice est souriante.
— Bien installe-toi, car je crois que nous avons des choses à nous dire. Mais avant, Gladice, je voudrais que tu me racontes ce qui s’est réellement passé, car je voudrais comprendre.
— Demandez-le à votre fille, elle sait, elle ! réplique ma chérie un peu sèchement.
— Justement elle ne veut rien me dire, alors je compte sur toi pour m’éclairer.
— D’accord ! Mais après, vous ne changerez pas d’avis sur ce que vous m’avez dit ?
— Tu as ma parole, et même s’il y a des choses pas très jolies à entendre, je veux ...