Ablation de grains de beauté
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fh,
médical,
Collègues / Travail
cérébral,
noculotte,
Oral
fsodo,
Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe
... d’examen, le laissant tomber vers sa jambe. Mes doigts ont frôlé un mollet, la faisant tressaillir. J’ai lentement remonté la main, faisant crisser le tissu du collant. Je l’ai sentie frémir, tout en me laissant faire. Alors je me suis enhardi ; mes doigts couraient le long du nylon. Je la caressais lentement, tous les sens en éveil, guettant sa réaction pendant qu’elle s’affairait pour retirer les fils.
Je remontai encore plus haut ; cette fois-ci, ma main est passée sous la jupe, montant toujours en glissant les doigts à l’intérieur des cuisses. Elle a écarté légèrement les jambes pour me faciliter le passage. Mon excitation a monté d’un cran. Mes doigts ont fini par atteindre son entrejambe ; elle avait dû couler un peu : le tissu du collant était humide ! J’ai senti une crispation de sa cuisse tandis que ses doigts s’affairaient pour retirer les fils.
— Vous allez me faire faire une bêtise ; je risque de vous blesser, a-t-elle remarqué d’une voix terriblement rauque.
— Mais non, je vous fais confiance.
Je caressai l’intérieur des cuisses en évitant soigneusement de toucher le nylon au niveau de sa vulve. Je tentai d’attraper son regard ; ses pupilles glissaient avec rapidité de mes yeux aux fils qu’elle retirait avec délicatesse.
Elle s’est mise à respirer rapidement. Mon cœur battait à tout rompre, je bandais comme un malade. Dans une clinique, rien d’étonnant à ça, sauf que je n’étais pas malade ! Sa passivité me donnait une furieuse envie de fouiller ...
... entre ses cuisses.
— Non, s’il vous plaît, je… je ne peux pas faire ça.
— Pourquoi ?
— Parce que… j’ai… je fais une bêtise, et…
— Laissez-vous faire.
Ma demande était inutile : avec complaisance, elle me laissait faire. Je pouvais caresser ses cuisses qu’elle avait volontairement séparées pour faire de la place à ma main qui se faufilait sous la jupe.
— Attendez… j’ai presque terminé, et…
Elle m’a répondu d’une voix presque inaudible. Je me suis mis à pétrir ses cuisses, me régalant de sa chair élastique de femme. Mais je voulais sentir sa peau nue.
— C’est bon ? Vous aimez ?
— Oui, terriblement bon, je…
— C’est ça que vous vouliez ? C’est excitant d’être caressée par un patient en travaillant, n’est-ce pas ?
Elle n’a pas répondu. En tentant de maîtriser sa respiration, elle a lâché :
— Voilà, c’est fait, vous pouvez vous relever.
Je me suis relevé prestement et l’ai plaquée contre la table d’examen en la prenant dans mes bras. Nos lèvres se sont immédiatement jointes, les langues se cherchant en tournoyant avec sensualité. C’est fou ce qu’un profond baiser peut être excitant !
J’ai susurré à son oreille :
— J’ai envie de vous, là, tout de suite !
J’ai relevé sa jupe à la taille, l’ai agrippée aux hanches en la soulevant pour l’asseoir sur la table d’examen. Elle ne portait pas de culotte : son collant était très fin, sans aucune marque au niveau du pubis, ne cachant rien de sa vulve soigneusement épilée, hormis une petite touffe de poils ...