1. La maman dévergondée, 7° partie


    Datte: 19/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... un plaisir diffus qui allait en s’amplifiant, et finalement, j’ai trouvé le mouvement plutôt plaisant, d’autant que la dame empoignait ma hampe à pleine main. Elle la décalottait et la recalottait au rythme de ses coups de reins. À travers l’un des nombreux miroirs à cadres dorés qui recouvraient les murs de la salle, je voyais onduler derrière moi la permanente impeccable de ses cheveux gris-blancs.
    
    Puis ils m’ont suspendu par les pieds et fouetté sans ménagement. La lanière de cuir sifflait dans l’air et s’abattait sur mon dos, ce qui me faisait saigner. D’autres clients du restaurant pouvaient nous voir ; ils semblaient blasés, habitués à ce genre de pratique. Les femmes qui me désiraient pouvaient s’approcher, et j’étais obligé de leur sucer la chatte ou bien l’anus, la robe relevée, ou bien les pieds, les seins, ou d’autres parties de leur anatomie ; certaines, ensuite, me pissaient dessus. Pour la plupart, elles étaient accompagnées de leur conjoint qui les regardaient abuser de mon corps juvénile. Sous leurs vêtements, elles sentaient le parfum de grand prix, l’onguent de luxe, la crème pour les riches. Malgré les coups de fouet, ce n’était pas un moment déplaisant, et j’ai découvert, dans chacune de ces dames élégantes, d’inépuisables trésors de féminité, quand bien même elles ne ressentaient pour moi que du mépris. Pour ce couple privilégié, vingt mille francs n’étaient rien, et d’ailleurs, parce qu’ils étaient contents de ma prestation, parce que je leur ...
    ... avais été sexuellement servile, ils m’en ont donné trente mille, en gros billets de cinq cents, de ceux qu’on ne tient jamais en mains lorsqu’on est un garçon pauvre comme moi.
    
    Ce couple m’a fait découvrir à quel point il est possible de s’abandonner en toute liberté dans la luxure jusqu’à en perdre toute dignité humaine, pour mieux retrouver celle-ci une fois l’orgie terminée. Denis m’a proposé un emploi bien rémunéré dans son entreprise, mais j’ai refusé : je préférais continuer à vivre dans l’oisiveté, quitte à louer mon corps de temps en temps.
    
    Le cadeau que j’ai offert à Maman pour son anniversaire n’en avait que plus de valeur à ses yeux, car je lui ai tout raconté, y compris dans les détails les plus scabreux de mon aventure avec Christelle et Denis. Elle en avait les larmes aux yeux. Oui, j’ai souffert mille turpitudes pour elle, dans l’avilissement et l’esclavage sexuel, comme un objet de luxe dont les puissants abusent et puis dédaignent, se moquent et abandonnent.
    
    Nous étions seulement quatre : Maman, Adeline, Alicia, et moi.
    
    Ma récompense a été à la hauteur de ce que j’ai subi. Quand Maman a ouvert son paquet-cadeau, elle n’en croyait pas ses yeux. Elle a immédiatement essayé son nouveau jouet, en commençant par ôter son pantalon et sa culotte, puis en lubrifiant la tige vibrante et tournante.
    
    L’appareil était posé sur la table. J’ai pris des photos pour immortaliser ce moment. Adrienne et Alicia caressaient la peau blanche de ma mère pendant qu’elle ...