La maman dévergondée, 7° partie
Datte: 19/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Mature,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... poèmes érotiques que je lui lisais ou que j’inventais pour elle.
Adeline venait régulièrement déjeuner à l’appartement. Pour lui avoir permis d’organiser ce fameux gang-bang, bien que lesbienne, elle me devait la fellation promise. Devant Maman, bien-sûr. Mais comme je voyais que ma demi-sœur n’aimait pas cela, je n’ai pas bandé, et finalement, j’ai renoncé à percevoir ma récompense. Cela m’a fait monter dans son estime : elle ne croyait pas qu’un homme puisse être capable de ne pas exiger sa récompense buccale.
Pour son quarantième anniversaire, j’ai voulu marquer le coup en offrant à Maman un cadeau très spécial : un Sybian, la Rolls des sextoys. Mais je n’avais pas d’argent pour acquérir cet engin coûteux. Adeline, qui connaissait beaucoup de monde, m’a trouvé un couple fortuné, Christelle et Denis, qui m’a embauché comme esclave sexuel, le temps d’un week-end, contre la somme de 20000 francs, ce qui aujourd’hui représenterait 1500 euros, et même bien plus, avec l’inflation. En échange, il m’a fallu combler toutes leurs fantaisies, qui étaient des plus épicées.
Pour commencer, ils ont fait venir à domicile une esthéticienne qui m’a intégralement épilé.
Ils m’ont emmené dîner dans un restaurant huppé où ils avaient leurs habitudes, dans une arrière-salle où nous étions à l’écart. J’étais nu, avec une chainette reliant mon cou, mes poignets et mes bourses, de sorte que mes mouvements étaient douloureusement entravés, et que le moindre geste brusque se payait un ...
... cruel étirement de mes gaines testiculaires. À genoux, je devais manger mon homard – mayonnaise dans une gamelle de chien en or massif posée au sol, et laper du champagne dans une coupelle du même métal.
Christelle et Denis s’amusaient de l’inconfort de ma situation, tout en se bécotant et se pelotant amoureusement entre deux bouchées, comme des tourtereaux. Le sommelier leur apportait des bouteilles au fur et à mesure qu’ils les consommaient. Ensuite Denis, rassasié et visiblement ivre, a probablement senti l’effet des pilules bleues dont il abusait : il a fracassé au sol son assiette dont un larbin en tenue s’est empressé de ramasser les morceaux, puis s’est levé en titubant, a ouvert sa braguette comme devant un urinoir, et m’a brutalement sodomisé dans un éclat de rire.
Ce geste devait être très drôle, ou peut-être était-ce l’expression désespérée de mon visage, car sa femme riait avec lui, et les quelques témoins présents partageaient leur hilarité. Il tenait à peine sur ses jambes et déculait souvent pour y retourner aussitôt. Il a rapidement éjaculé dans mes boyaux, puis son épouse s’est levée à son tour, pour enfiler un gode-ceinture d’une longueur et d’un diamètre imposants : une tige toute brillante sous les spots halogènes, probablement en argent.
De même que son mari, elle m’a défoncé le trou de balle, toujours en riant comme une folle. Ma rondelle anale, étirée à l’extrême, me faisait mal ; par contre, le contact du godemiché sur ma prostate me procurait ...