1. La maman dévergondée, 7° partie


    Datte: 19/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Dans les épisodes précédents, Maman m’a poursuivi de ses désirs auxquels je n’ai pas cédé, malgré son insistance. Cependant, avec la complicité de ma demi-sœur Adrienne, je lui ai organisé un gang-bang dantesque au cours duquel elle a subi tous les outrages imaginables. C’était soi-disant pour la punir de ses avances indécentes, mais en réalité, elle a beaucoup aimé ce moment.
    
    Après cet épisode, ma mère n’a absolument pas renoncé à me mettre dans son lit. En même temps, elle se laissait facilement séduire par des hommes, des femmes, et des couples qu’elle rencontrait dans les transports en commun, les supermarchés et autres lieux publics. Il suffisait d’un sourire ou d’un regard bienveillant pour obtenir un rendez-vous dans notre appartement qui se transformait, chaque nuit ou presque, en lupanar. Frénétiquement, elle baisait quiconque la désirait. Elle ne se prostituait pas formellement, mais souvent ses amants lui donnaient spontanément de l’argent, ce qui nous aidait à faire bouillir la marmite, car aucun de nous deux n’avait d’emploi. Nous risquions à tout moment de nous retrouver à la rue.
    
    Pour que je puisse assister discrètement à ses ébats dans sa chambre, elle avait installé un œilleton dans le mur qui la séparait de la mienne. Elle aimait que je la voie en train de copuler avec ses partenaires de rencontre. Elle s’arrangeait à chaque fois pour se tourner de manière à ce que je puisse bien voir. Et cela m’excitait de la voir baiser sans aucune retenue, ...
    ... exauçant les fantasmes des uns, ouvrant son corps de façon totalement impudique aux autres. Elle savait se donner en spectacle. À des hommes qui se croyaient devenus impuissants, elle a su redonner la vigueur sexuelle, comme par miracle.
    
    Devant ces démonstrations hautement impudiques, je me branlais à chaque fois, et lui offrais ensuite mes mouchoirs imbibés de sperme qu’elle gardait religieusement dans une boite en fer – je me demandais ce que pouvait bien signifier ce fétichisme. Quand elle n’avait personne dans son lit, elle s’offrait des voluptés en solitaire qui étaient incroyables, tant elle s’abandonnait dans des orgasmes fantastiques, tout en insérant dans ses cavités d’immenses tiges de plastique ; je me demandais comment son ventre pouvait accueillir de tels objets. Ces soirs-là, j’entrais dans sa chambre et je me masturbais avec elle, en buvant ses soupirs et ses gémissements. Parfois, nous regardions ensemble un film érotique sur sa petite télé. Je connaissais par cœur chaque détail et toutes les fragrances de son corps, mais il n’y avait, dans ces moments-là, sans aucun contact physique entre nous deux.
    
    Malgré toute cette complicité, au matin, mes baisers tombaient à chaque fois sur ses joues, chastement. Elle en devenait folle de désir. Elle me suppliait, me promettait tout ce que je voudrais. Je lui résistais obstinément. Elle en pleurait de frustration, et à défaut de lui offrir mon corps, je la consolais de milliers de mots tendres et obscènes à la fois, des ...
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