Banquière perverse (8)
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... Elle est mignonne, mon assistante ; vous ne trouvez-pas ?
— Si elle est mignonne ? Complètement, mais elle n’est pas un peu jeune ?
— Ça y est, ça recommence ! Bon puisque c’est ainsi, alors je me présente. Je m’appelle Sophie, je sais que je ne fais pas mon âge et contrairement à ce que vous pensez, j’ai vingt ans ; bien que je m’habille en douze / quatorze ans. J’ai un BAC pro d’esthéticienne et j’aime mon corps. Je suis célibataire car aucun mec ne veut de moi, il parait que je fais trop gamine mais je suis désolé ; je suis née comme ça. Ça vous va, une carte d’identité, un café ?
— Un café, je veux bien. Dis-moi, au moins toi, tu ne te laisses pas faire ; c’est top ça ! lui dit Gladice.
— Bon va pour les cafés, qui ? Tout le monde…parfait.
Le café coule, Sophie se change ; impudique elle se déshabille, elle est nue sous ses vêtements, elle enfile une blouse puis nous rejoint :
— Anne, c’est quoi le boulot…Urgent ?
— Il faut épiler totalement Issam, tu comprends pourquoi je t’ai appelé ? Et nous avons déjà bien dégrossi !
— Okééé… ! Mais épilé, partout ?
— Bah, oui ; partout, c’est partout, lui répond Anne.
— Ah, mais je ne vais pas pouvoir…J’ai jamais fais ça à un garçon…je…
Je me retourne pour mieux voir cette petite merveille et elle découvre mon vit en demi-érection.
— Ah, mais non ! je ne vais vraiment pas pouvoir, d’abord …je…je n’ai jamais fait ça sur des hommes ! Et puis ça ne va pas être possible ; non ! non ! Je ne vais ...
... jamais tenir le coup. C’est une vraie torture cette histoire !
— Mais c’est quoi le souci ? lui demande Anne.
— Ça ! reprend-elle en fixant mon vit.
— Ah, mais ce n’est pas grave, si tu as besoin, tu te sers ; tu sais c’est un mec et comme tous les mecs, s’il peut fourrer sa bite dans un trou, enfin je ne te fais pas un dessin.
— Sur ?
— Sur ! confirme Gladice.
Anne et Sophie se jettent sur les appareils à lumière pulsée qui sont sensés, selon les dires d’Anne, faire disparaitre définitivement tous les poils même les plus rebelles. Pour mon cas, il semblerait qu’il faille plusieurs séances avant d’arriver à bout de ma forêt vierge.
La tonte terminée, nous passons à la phase lumière pulsée. Gladice étale le gel et les deux esthéticiennes habillées en cosmonaute avec gants et lunette de protections, elles mettent en marches les deux appareils. L’opération est minutieusement orchestrée au millimètre près, les appareils crépitent ; l’opération débute par mes pieds et au fur et à mesure qu’elles montent le long de mon corps, une douce chaleur m’envahie.
Rassuré qu’il n’y ait pas de risques pour mes valseuses ; j’autorise d’être caressé par l’engin. L’appareil à lumière pulsé ayant soit disant détruit la racine des mes vilains poils rebelles ; une douche afin d’éliminer le gel, s’impose.
Douché et soigneusement séché par ces dames me revoici sur la table de torture. Je dis de torture car, si les racines de mes poils sont détruites elles n’en restent pas moins ...