1. Banquière perverse (8)


    Datte: 18/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    La brasserie de la gare de Lyon s’ouvre à nous, le serveur nous propose une table ; nous nous y installons, Ça fait du bien d’être dehors, seul à cette table avec Gladice ; plus je la regarde et plus je la trouve belle. Nous commandons deux steaks-frittes et de l’eau ; le serveur nous les apporte, ils ont l’air appétissant. Ils sont d’ailleurs très bons, ça fait longtemps que je n’avais mangé une aussi bonne viande. Nous nous faisons face et tout en discutant ; la vue de la main de Gladice posée à plat sur la table m’appelle. Je me risque à la saisir et à l’envelopper de ma main ; son contact m’électrise, mon cœur s’emballe, nos regards se croisent. Je voudrais lui dire un truc mais rien ne sort, habituellement je ne suis pas si timide ; mais là, je bloque. Elle me regarde fixement dans les yeux, je suis comme paralysé par son regard noir et profond qui semble vouloir entrer en moi. Elle glisse sa main en arrière et la pose délicatement sur la mienne puis elle me la serre fort… très fort.
    
    — Issam…c’est terrible !…je…je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi…
    
    Mon cœur fait un grand « boom » dans ma poitrine, tout mon corps est parcouru par une sorte de courant électrique ; j’ai des fourmis partout et ma gorge se serre d’émotion. Elle ne lâche la main sans baisser son regard, qu’attend-elle ?… un geste, une parole ; je suis dans un état second. C’est donc ça de tomber amoureux ? C’est ça qui me fait perdre tous mes moyens et me paralyser au point d’être ...
    ... incapable de sortir un mot ? Dans le brouhaha de la brasserie, je décolle vers le bonheur ; sa main me serre encore plus fort et enfin, ma gorge se desserre.
    
    — Gladice…je crois que… que moi aussi…
    
    Nous restons ainsi, le temps suspend son vol, je suis heureux ; nos mains s’enlacent, se touchent, se caressent. Une larme coule le long de sa joue et de la mienne aussi, que s’est bon. Une bouffée de chaleur m’envahit d’un coup. J’ai envie de sauter par-dessus la table, de la prendre dans mes bras, de l’embrasser de la cajoler, de lui faire l’amour. Quel dommage cela aurait été, si elle s’était jetée sous ce camion ! Quel bonheur d’avoir été à découvert à la banque et de croiser cette banquière aussi perverse.
    
    « Ô ! Merci Madame Shirine de m’avoir fait rencontrer cette déesse ! Madame, je vous adore !»
    
    La banquette de la brasserie nous accueille tous les deux, côte à côte, bouche contre bouche ; ma main se glisse sous sa mini robe de Gladice qui remonte jusqu’en haut de ses cuisses. Son intimité est trempée de désir, sa main passe sur ma cuisse. D’un coup, elle se lève, me prend par la main et m’entraine au travers de la salle sous l’œil inquisiteur des certains clients et le regard interrogateur du serveur.
    
    — Viens, viens vite ; j’ai envie de toi.
    
    Je la suis jusque dans les toilettes. Elle entre, ouvre une porte au hasard ; elle ne ferme pas à clé ! Sa robe vole au dessus de sa tête, elle est nue ; elle baisse mon short, se pend à mon cou et m’embrasse, puis. Elle ...
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