Banquière perverse (8)
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... se soulève, je l’aide et elle s’empale sur mon sexe gonflé de désir. « Et si quelqu’un entrait ? On s’en fout ! » Nous basculons, elle a le dos contre le mur, aves ses jambes nouées autour de ma taille, elle gigote ; je l’attrape sous ses fesses et la porte pour lui imprimer le bon mouvement. Je vais et je viens entre ses reins, elle souffle au travers de ces dent, ferme les yeux. Rapidement notre orgasme est violent, rapide comme l’éclair, puissant comme un ouragan, brillant comme le diamant ; merveilleux comme les étoiles dans les cieux.
Moi encore essoufflés et elle toute ébouriffée, nous traversons la salle de la brasserie, j’ai envie de crier mon bonheur à ces gens au regard réprobateur et accusateur. Le serveur, le sourire au coin des lèvres nous suit du regard ; Gladice lui envoie un petit haussement d’épaule et de mains signifiant : « Désolé, il y avait urgence ! »
Il vient de nous rejoindre à notre table avec toujours le même sourire.
— Vous désirez autre chose…un café ?
— Deux, s’il vous plait et l’addition, répond Gladice
Le serveur revient, nous avons une heure devant nous trajet compris. Je n’ai plus envie de baiser Madame ; je voudrais partir loin avec Gladice.
— Gladice, que va-t-on faire, je veux partir avec toi, loin d’ici.
— On ne peut pas, ni toi ni moi n’avons d’argent, alors nous allons continue à servir Madame et sa fille et puis on leur doit bien ça, non ?
— Oui c’est vrai, mais je ne veux faire l’amour qu’avec toi.
— Tu ...
... sais, ça ne me dérange pas que tu …les baises, on va dire ça comme ça ; au contraire ça m’excite de te regarder les défoncer.
— Oui mais là, maintenant ça me gêne, voilà tout.
— Écoute, j’ai une idée. Si tu veux, tu pourrais mettre une capote pour les « sauter » et quand nous ferons l’amour ce sera sans rien ; ça te va ?
— Mouai…c’est une bonne idée, et pour toi ce sera pareil ?
— Évidemment, écoute-moi : nous avons le gîte et le couvert, un salaire et le cul, et moi, le cul, j’adore ça ! Et puis tu n’as pas encore tout vu, je pense que tu vas découvrir des choses qui vont te plaire…
— Tu as raison, mêler l’utile à l’agréable je trouve ça génial, alors on y va à cette tonte ?
Le trajet en métro où l’on peut maintenant s’assoir nous berce ; seul le crissement des pneus et les annonces perturbent mes pensées. Nous nous tenons la main, son image dans le reflet de la vitre m’emporte loin ; je suis dans du coton, loin, à mille lieux d’ici et aussi perdu dans un baiser interminable. C’est Gladice qui je me secoue et me sort de ma torpeur.
— C’est là, nous sommes arrivés ; on y va !
Le salon de l’esthéticienne est à de pas, je ne sais même pas où je suis. Le salon est fermé, Gladice sonne à la porte de l’immeuble d’à côté, le « bzz » de la serrure se faite entendre et la porte s’ouvre. Au bout du couloir une autre porte est grande ouverte, nous entrons ; une belle dame blonde en blouse blanche, ouverte jusqu’à mi-cuisse nous accueille.
— Bonjour Gladice, ...