Mal de dos - bis
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
fh,
couple,
Oral
coprolalie,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... chose, mais, moins salace, mon innocente bouche répond :
— Non, non, merci, mon doudou…
— Il ne te faut vraiment rien ?
Une fois, soit, mais deux fois, c’est tenter le diable ! Pour toute réponse, je découvre la couverture, révélant un sexe bien pêchu et fendu. Hochant de la tête, mon homme sourit :
— Pour ça, t’es pas malade !
— Même à l’article de la mort, je ne m’avouerais jamais vaincue !
Vicieuse, j’écarte ostensiblement les jambes. Je désigne mon pubis et ce qui se niche en dessous :
— Et si tu lui donnais un petit coup de langue pour qu’elle soit bien aise ?
— Et pourquoi je ferais ça ?
— Parce que je te le demande et parce que je suis une pauvre femme bien malade !
— Ben voyons !
Il râle pour la forme, ce qui ne l’empêche pas de poser ses lèvres chaudes sur mon pubis qui frémit sous ce double contact. Après quelques taquineries sur mon petit mont dodu, une langue agile s’insinue vicieusement dans ma fente déjà un peu humide, et commence une douce et longue caresse comme elle sait si bien le faire. Et j’adore qu’on vienne titiller mon clitoris ! Ça dure environ deux bonnes minutes, puis mon homme se redresse, me demandant :
— Ça ira comme ça pour Madame ?
— Hmmm… je ne serais pas contre un petit supplément…
— Ah oui ? Monnayable comment, ton petit supplément ?
— Cette fichue trousse à outils avec laquelle tu me bassines depuis quinze jours, ça te convient ?
— Bonne initiative !
Je me demande bien ce qu’il fera avec cette nouvelle ...
... trousse, sachant que des outils, il en possède déjà plein à la cave et au garage, mais bon, si ça l’amuse, et de plus, ça peut toujours servir… Calmement, il s’assied sur le bord du lit, puis il me regarde droit dans les yeux :
— Tu me prends pour un gigolo ?
— Pourquoi tu dis ça ?
— Des outils contre un cunni, c’est quoi, à ton avis ?
— Un échange de bons procédés, non ?
— Ah oui ?
Son air narquois et supérieur m’excite encore plus. Sans parler du fait qu’il vient de parler de gigolo… Alors, vicieusement, je poursuis dans cette voie :
— Je suis une grande malade, j’ai besoin de soins appropriés, de trèèès bons soins…
— Grande malade, oui, sans doute… où tu veux en venir ?
— Comme tu l’as si bien dit : oui, je te prends pour un gigolo, mon gigolo à moi…
Il ne répond rien, mais je vois une certaine lueur dans ses yeux. Je continue :
— Et un gigolo, ça se comporte logiquement en gigolo, en petit salopiau parfois… Bien que dans ton cas, ça serait en gros salopiau !
— Ouiii… et puis ?
Prenant mon ton le plus affirmatif, je le questionne :
— T’es mon gigolo ?
— Oui, je suis parfois ton gigolo…
Mon mari semble vouloir jouer le jeu. J’accentue :
— Pas parfois ! Tu es mon gigolo à moi, n’est-ce pas ?
— Oui, je suis ton gigolo à toi !
— Tu es mon gros salopiau ?
— Oui, je suis ton gros salopiau !(voix suave)
— Mon trèèès gros salopiau ?
— Oui, je suis ton très gros salopiau !(voix canaille).
Le son de sa voix me fait frémir, je souris :
— Dans ...