1. Au début...


    Datte: 04/05/2018, Catégories: hbi, BDSM / Fétichisme chaussures, Transexuels hsodo, Auteur: Francoise Bastal, Source: Revebebe

    ... shorty pour mieux pointer sous la jupe. Marie Pierre s’en aperçu, discrète elle me sourit passant d’un geste tendre le revers de sa main sur ma joue.
    
    — Moi aussi je serais excitée à ta place, tu es très belle.
    
    Mes ongles furent recouverts d’un vernis rouge éclatant. Sabine réapparut, elle avait rangé mes habits d’hommes dans mon sac, faisant de ce fait deux découvertes. La première, mon slip, prouvant ainsi que je ne portais rien ou autre chose sous ma jupe. La deuxième, une boîte de bas que je comptais mettre à la place de mon collant dès que j’en aurais l’occasion. Ce n’est pas elle qui en parla mais moi, pensant devoir me justifier, mais Sabine ayant compris comme sa mère sourit en me proposant de quitter mon collant si je le voulais. J’avais chaud, je devais être pivoine. Marie Pierre voulut savoir si elle devait aussi m’épiler le maillot pour mettre en valeur ma lingerie. J’étais tellement troublé et excité que j’acceptais tout. Marie Pierre et moi nous isolâmes dans un salon prévu pour les épilations intimes, je quittais collant et shorty pour me retrouver le sexe à l’air face à la mère de mon amie, mais plus rien n’était comme avant.
    
    Au final, mon intimité fut complètement débarrassée de tout poil à l’exception d’un triangle sur mon pubis, je remis le shorty pour encore mieux en profiter et enfilais les bas, que j’avais choisi noir à plumetis. La douleur de l’épilation passée, mon érection revint encore plus forte.
    
    Marie Pierre rangeait son matériel et ...
    ... je ne pus rien faire pour lui cacher mon émoi. Par décence, elle quitta le salon me laissant seul face à ma nouvelle image. Ma main saisit mon sexe, mes ongles rouge vif donnaient un air encore plus pervers à mon geste. Un miroir me renvoyait l’image d’une femme en bas, juste revêtue de sa veste de tailleur et de ses bottines. En deux mouvements, j’explosais, répandant mon plaisir sur le carrelage dans un râle que je ne pus retenir, puis je finis de m’habiller, nettoyant, avant de sortir, le fruit de ma jouissance.
    
    Les filles me sourirent, me complimentant encore sur ma beauté, Marie Pierre dit qu’il fallait que je me trouve un prénom correspondant à mon nouveau look et devant mon hésitation, me proposa Françoise, prénom qu’elle aurait donné à sa seconde fille si l’occasion s’était présentée. Très ému, j’acceptais et sur ce nous partîmes. En chemin, Sabine me remit un adorable petit sac à main contenant des échantillons de démaquillant, un flacon de dissolvant et une boîte de collant au cas où ; mais Marie Pierre les reprit et fouillant dans son sac à main, elle me remit une paire de bas gris qui je le compris aussitôt était ses propres bas de rechange. Marie Pierre portait donc des bas.
    
    Lors de cette soirée, personne ne me reconnut, et je ne fis rien pour me faire reconnaître, j’étais tellement bien en femme que rien ne pouvait me ramener à mon statut d’homme pour le moment. L’illusion était presque parfaite, mais pas assez pour que des garçons s’intéressent à moi. Je ...