1. Au début...


    Datte: 04/05/2018, Catégories: hbi, BDSM / Fétichisme chaussures, Transexuels hsodo, Auteur: Francoise Bastal, Source: Revebebe

    Bien avant de découvrir les plaisirs de la chair, j’ai été attiré par le Nylon. Je furetais précocement dans les réserves de ma mère poussant le plaisir jusqu’à porter ses collants en cachette pendant mes nuits d’adolescent.
    
    Au collège, je fantasmais sur les cuisses gainées de Nylon des filles ; je vivais ma passion mentalement n’ayant à l’époque ni l’âge, ni les moyens de pousser plus loin la réalisation de mes fantasmes.
    
    Puis vint la découverte des plaisirs solitaires que j’associais rapidement à ma passion, le tout illustré par les revues érotiques que nous nous passions sous le manteau entre garçons. Je découvrais, sur papier glacé, mes premières femmes en porte-jarretelles et talons hauts. J’aimais les femmes, les femmes très femmes, BCBG mais aussi leurs tenues.
    
    De fil en aiguille, mes caresses solitaires me firent découvrir une sensibilité particulière aux caresses anales. Je me fis donc rapidement à l’idée que j’aimais me travestir et me comporter en femme. Cependant, j’appréciais les conquêtes féminines. Etre un homme avec mon côté « femme » était une face cachée de ma personnalité et je vivais très bien ainsi. Puis vinrent les années post-bac avec l’éloignement familial et l’indépendance et surtout la possibilité de vivre ma passion avec beaucoup plus de liberté. À cette époque, je fis l’acquisition de mes premières paires de bas, pour définitivement écarter les collants, puis je poussais ma découverte des plaisirs solitaires plus loin.
    
    Aux bas ...
    ... s’associèrent une robe bon marché, des sous-vêtements « Monoprix » en dentelles et des bottines style 1900 avec un talon carré de quelques centimètres. En rentrant des cours, j’aimais m’habiller en femme et m’alanguir sur mon lit en feuilletant des revues de mode féminine. Ces instants se terminaient généralement par des caresses appuyées, où se mêlaient de plus en plus les pénétrations. N’osant pas entrer dans un sex-shop, je me servais de ce que la nature pouvait mettre à ma disposition pour satisfaire mes besoins.
    
    À l’époque, je n’aimais les carottes et le concombre que pour mon bon plaisir. Plaisir satisfait lors de longues pénétrations où je mettais mon anus à mal afin de satisfaire mon besoin de dilatation de plus en plus fort. Mes orgasmes les plus intenses survenaient lors de l’éjaculation, à la condition que je sois « en femme » et que mon intimité soit remplie. Je portais souvent sous mes pantalons, bas et culotte de dentelle. Ces accessoires me tenaient en érection quasi permanente. Et ma vie ainsi menée se passait, j’étais une sorte de gentil Dr Jeckyl et Mister Hyde.
    
    Et Françoise fut…
    
    Ces années d’études furent riches en soirées en tout genre que nous appelions Tonus et c’est à l’occasion d’une de ces soirées que naquit Françoise. Le Tonus « Infirmières », en clair, la soirée étudiante organisée par les élèves infirmières devait être costumée ; je bondis donc sur l’aubaine pour enfin pouvoir sortir en fille. N’osant pas dans un premier temps dévoiler mon idée de ...
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