Le Village en folie (17)
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: simson3, Source: Xstory
... avec l’agresseur microscopique. Alicia sentait ses forces mentales l’abandonner : chaque nouveau regard porté sur le chien le rendait plus tentant, plus désirable.
« Mon Dieu, qu’est-ce qui m’arrive ? Je voudrais maintenant que ce cabot me prenne ! »
Se relevant rapidement, elle vit soudainement la pièce bouger et virer sens dessus dessous et se retrouva au sol, incapable de bouger. Tel un animal enragé, le chien se rua vers elle, cherchant de nouveau son sexe qui dégageait maintenant une forte odeur de mouille. Basculant sur le ventre, elle tenta de ramper jusqu’à la porte arrière pour crier à l’aide. L’animal la suivait, lui léchant maintenant l’anus après avoir tiré la petite culotte jusqu’aux genoux de la femme.
Alicia était déchirée entre le désir de se laisser prendre par le mâle et son instinct de survie qui lui disait de fuir. Ses étourdissements, maintenant accompagnés de nausées, l’empêchaient cependant de bouger et de se défendre adéquatement.
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Sophie était toujours assise sur le bord du lit, les larmes coulant sur ses joues, le verre rempli à la main, dressant un ultime bilan de sa vie. Elle se commémorait une dernière fois les moments forts de cette belle histoire d’amour vécue avec Ali, depuis les tout premiers moments de leur enfance (Nda : relire le chapitre 10). Son regard se porta sur le contenant qu’elle tenait à la main. Elle porta le verre à sa bouche. La forte odeur d’alcool qui s’en dégageait la fit ...
... grimacer.
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Rampant péniblement sur le sol de la cuisine, Alicia cherchait désespérément à se libérer de l’emprise de l’animal qui haletait en se balançant maintenant le bassin, prêt à copuler avec la femme. Sentant les coups de langue fuser sur ses parties intimes sous sa minijupe, elle parvint tant bien que mal à s’approcher de la chambre à coucher du fermier qui était adjacente à la cuisine où elle se trouvait. Arrivée au seuil de la porte, elle fit un ultime effort, toujours étendue sur le sol, et retira sa culotte qu’elle frotta ensuite sur son sexe pour l’enduire abondamment de cyprine.
« Tiens, gros toutou cochon, va chercher ! »
Ayant lancé sa petite pièce de vêtement fortement parfumée à l’intérieur de la chambre, elle parvint à atteindre la poignée de la porte et à fermer complètement cette dernière, emprisonnant la bête qui s’était engouffrée dans l’autre pièce à la poursuite du projectile. Retombant sur le sol, Alicia poussa un soupir de soulagement et attendit. Ses forces l’ayant abandonnée et étant sous l’influence du virus que lui avait transmis l’animal, elle fut prise de sommeil et s’assoupit.
Une force interne la réveilla, alors que la pensée de Sophie vint à son esprit. Lentement, elle se releva, fourra pêle-mêle ses effets dans sa valise de travail et regagna sa voiture. Elle parcourut un kilomètre avant de bifurquer sur un petit chemin de terre où elle s’arrêta. Repensant à sa biche chérie, elle se mit à pleurer ...