Le Village en folie (17)
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: simson3, Source: Xstory
Les travaux de l’équipe d’enquête dont s’était entourée docteure Alicia LeBel progressaient de façon régulière et s’approchaient lentement de leur conclusion. Depuis maintenant plusieurs semaines, scientifiques, professionnels, psychologues et techniciens concertaient leurs efforts afin de définir de façon précise les paramètres de l’épidémie touchant le secteur rural du petit village de Sainte-Marie-du-Chapelet.
L’échantillonnage des puits artésiens de la région était pratiquement terminé et les analyses allaient bon train. Les labos de l’École de médecine vétérinaire affiliée à l’Université de Montréal étaient maintenant mis à contribution, analysant des échantillons sanguins d’origine animale, alors que ceux de l’hôpital Honoré-Mercier continuaient de traiter ceux des patients référés dans le cadre de l’enquête.
Alors qu’elle s’affairait à son bureau du CLSC, Catherine s’interrogeait à savoir si elle avait bien fait de laisser Sophie seule à la maison, le matin. Alicia, quant à elle, se trouvait de nouveau, en après-midi, chez le patient dont le chien avait, la veille, pris Sophie en saillie, profitant de la crise incontrôlable de zoophilie dont avait été victime cette dernière.
Fortement exhortée par Catherine, la veille au soir, d’affronter le canin qu’elle soupçonnait maintenant d’être un des vecteurs de transmission du virus responsable des comportements obscènes observés dans la population locale, Alicia était plus que déterminée à en avoir le cœur net. ...
... Bien décidée à vérifier ses théories, la doc s’était approchée de l’animal, en l’absence du maître, afin de provoquer en elle une contamination virale par le quadrupède.
« Allons, viens, mon beau, s’adressa-t-elle au résultat d’un croisement de golden retriever et de labrador. Tu as goûté à la mouille de ma copine, maintenant tu vas goûter à la mienne ! »
Ce disant, elle s’accroupit près du chien et porta deux doigts enduits de cyprine au museau du canin qui, ayant brièvement reniflé le produit, se dressa sur ses pattes tel un ressort. Maintenant debout devant le panier dans lequel se trouvait l’animal, elle eut tôt fait de sentir un museau s’engouffrer sous sa minijupe pour se faire lécher la vulve au travers de la culotte.
« Tu comprends très vite, mon gaillard ! reprit la femme qui prit alors place sur une chaise, écartant les jambes et retroussant son slip afin de donner à la bête un accès direct à son sexe humide. Viens, maintenant, viens me faire sentir ta langue sale qui a tellement fait jouir ma petite biche ! »
Malgré les sublimes sensations qu’elle éprouvait sur ses petites lèvres et son clitoris, Alicia, qui gardait toujours son petit vêtement écarté devant l’animal, s’efforçait de garder son contrôle et son esprit rationnel :
« C’est ça, mon beau toutou ! Donne de bons coups de langue et transmets-moi tes petits microbes, si tu en as. On verra bien après ce qui se passera ! »
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Abandonnée à elle-même à la maison, Sophie ...