Et hop, tout le monde à la campagne ! (3)
Datte: 11/02/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: SHERAB, Source: Xstory
... ne peux plus en rester là, j’y retourne. Cette fois, plus volontaire, presque avide d’en savoir plus, je décide de m’engager, ou plutôt, d’engager l’objet dans ma bouche.
Je reviens à la charge en englobant plus franchement la tête de l’asperge, en usant abondamment de ma langue. Fouillant un peu, je pénètre l’étui et j’atteins la tête du gland à grand renfort de salive. C’est un peu salé, légèrement amer, rien de désagréable finalement. Mes mains, bien fixées à la base du potelet, s’agrippent à la peau du zob pour la faire tendre et, du coup, bien dégager ce qui ressemble maintenant à un chauve en col roulé. Dans ma tête, c’est clair : je dois montrer à ce morveux que les filles de la ville ne sont pas toutes des nunuches, qu’elles peuvent aussi en remontrer aux filles de ferme. Inspirée par la démonstration de Claude de la veille, j’entreprends de branler Raymond tout en le maintenant dans ma bouche. Si c’est bon avec l’un, ça doit être aussi bon avec l’autre.
Raymond pousse des petits cris bizarres, on dirait un chiot cherchant une mamelle à téter, des tonalités qui varient entre le cri de la mouette et celui du porcelet. Drôle de manière de manifester sa joie laquelle semble pourtant totale. J’en ai plein la bouche, ma salive coule le long, jusque dans ses poils. Mon bas-ventre est bouillant, ma moule dégouline sur ma cuisse. Je trouve ça délicieux maintenant, non pas que ce soit bon en soi, mais la manœuvre me fait fondre d’envie de me faire remplir de cette ...
... bite. J’entrevois une évolution différente du désir sexuel. Vouloir s’en prendre une bonne, ça, c’est nouveau !
Je me dis que si je continue à ce rythme, le Raymond va sûrement envoyer son jus dans ma bouche. Joignant le geste à l’idée, je me mets à le téter franchement, j’imite un veau s’activant sur le pis de sa mère. J’allonge la langue au maximum puis je fais rentrer la sucette jusqu’au fond de ma gorge à m’en taper les amygdales. Dans un second mouvement, je relève la tête en serrant bien mes lèvres autour, j’aspire de toutes mes forces, je stoppe quand j’arrive à la corolle de son nœud et tire dessus à ce niveau. Je vois bien que ça plaît beaucoup à Raymond, il se tortille sur l’herbe. Je poursuis en accélérant le rythme. Je sens ses couilles remonter de part et d’autre de la souche du mandrin. Soudain, alors que sa bite me titille la glotte, un jet chaud plutôt amer s’expulse, suivi de trois ou quatre rasades du même tonneau. Je suis prise d’un haut-le-cœur qui me fait cracher l’engin avec sa purée chaudasse.
C’est de peu que je n’ai pas vomi sur le ventre de Raymond, encore tout rouge de son exploit.
— Nathalie, je te donne ton diplôme de suceuse de gaule ! s’exclame-t-il, sûrement en guise de remerciement.
— Si j’avais su que c’était aussi dégueulasse, j’aurais arrêté avant, répondis-je un peu tard.
Je descends me rincer la bouche à la rivière pendant que Raymond, tout habillé, rejoint l’autre rive en quelques brasses.
Le dîner se déroule plus tôt que ...