1. Et hop, tout le monde à la campagne ! (3)


    Datte: 11/02/2021, Catégories: Erotique, Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... village sont niaises à ce point ? Chantal, elle a appris très tôt, avec trois frères plus âgés qu’elle, elle a été initiée de bonne heure. Elle a commencé le jour de sa communion, peut-être pour fêter ça, lance-t-il en riant, fort de sa plaisanterie. Depuis elle suce tout ce qui bouge !
    
    — Et elle trouve ça bon ?
    
    — Il faut croire que oui, elle n’arrête jamais avant d’avoir tout reçu au fond de la gorge.
    
    Tout en argumentant sur les bienfaits de la pipe sauvage, Raymond a progressé jusqu’à moi. Il se tient maintenant presque trop près. J’ai sa bite à portée de main, elle hoche la tête à chaque fois qu’il termine une phrase, c’est marrant. J’ai envie de l’attraper. Je ne comprends pas très bien pourquoi, mais le souvenir très doux de celle de Claude me revient au creux de la main. Raymond, je veux prendre ta queue à pleine main et cette envie ne vient pas de ma tête, elle vient de mon ventre.
    
    — Tu pourrais me laisser faire ce que je veux ?
    
    — De quoi ?
    
    — Tu pourrais me laisser m’occuper de ta bite comme bon me semble, là, tout de suite, maintenant quoi ! Il faut te faire un dessin ?
    
    — Ben oui, si tu veux.
    
    J’attrape Raymond, le traîne hors du ruisseau. J’ai l’impression de tenir un chien en laisse, sauf que c’est sur sa tige que je tire. De retour au pied de mon peuplier, je m’assois sans le lâcher, ce qui l’oblige à suivre le mouvement tout naturellement. Je dois dire qu’il fait moins le coq au moment où je déboucle sa ceinture pour accéder à toute la ...
    ... majesté de l’engin.
    
    Raymond n’est pas très poilu, plutôt châtain clair. Il a de grosses couilles que je soupèse, imitant le maquignon qui évalue un jeune taurillon avant d’en offrir le juste prix.
    
    J’ai envie de les malaxer, je veux en connaître la vraie texture. Je suis surprise de constater, outre une chaleur excessive, que ce que j’en avais vu n’était en fait que le sachet. A l’intérieur de l’emballage, il y a des boules. Je les fais rouler entre mes doigts, bizarrement, ça provoque un raidissement de la colonne de chair. Je me dis que je viens de marquer un point. Ce sexe assez long, plutôt effilé, se termine par une corolle de peau fripée. Ce n’est pas très beau à mon goût. Respectant la consigne, Raymond s’est étendu dans l’herbe, il sourit les yeux clos.
    
    Je suis bien embarrassée d’avoir pris cette initiative, je ne sais ni par quoi, ni par où commencer. Je me dis qu’un peu de tendresse ne fait jamais de mal, alors je me penche pour y déposer un petit bisou. J’approche ma tête du bout de la perche, juste à poser mes lèvres sur la corolle. Pour apprécier cet instant, j’ai aussi fermé les yeux, le premier contact de la bite de Raymond avec ma bouche m’a chamboulée, au point de manifester un geste de recul. Cette touche infime a déclenché une onde électrique mettant en connexion la pointe de mes nénés avec l’extérieur et l’intérieur de ma chatte. J’en ai le souffle coupé. Qui m’aurait dit que la pine de cet adolescent était une baguette magique ? La surprise passée, je ...