Une partie de billard pas comme les autres - Histoires de Sexe

Une partie de billard pas comme les autres

... que je lâchais ma bite, je continuai lentement à m’enfoncer le plus possible. Je l’entendais haleter et cela m’excitait encore plus ! Je sentais ma bite durcir en elle comme jamais. Je posai mes deux mains sur elle, sur ses hanches et je commençai mes mouvements de va-et-vient ! À chaque aller-retour, je l’entendais gémir à la manière d’une joueuse de tennis. J’avais l’impression d’être sur un court ! Ses gémissements étaient accompagnés de mouvements de tête qui faisaient voler ses cheveux mi-longs.

Je fis signe à Jean-Luc de la lâcher. Elle s’appuya sur ses mains et se redressa un peu, cela n’en était que mieux ! Je sentais son corps onduler sous mes mains. Elle prenait véritablement du plaisir et cela me faisait penser à toutes sortes de choses dégueulasses.

Jean-Luc était là devant moi, de l’autre côté du billard, appuyé contre pour ne pas laisser voir cette érection qui lui faisait mal. Stéphanie était à moi et bien qu’excité par l’idée que l’on pourrait se la faire à deux, j’hésitais ! Mon égoïsme eut raison de moi. Je me tirerais Stéphanie seul !

Elle gloussait véritablement et je mettais un point d’honneur à la faire jouir. Gênée par son tee-shirt, elle le retira rapidement. À vrai dire, il ne lui restait plus que la tête à passer. Elle était entièrement nue devant moi et elle se cambrait en marmonnant des trucs imperceptibles. À plusieurs reprises, sentant le plaisir monter en moi, je me retirai pour laisser descendre la ...

... pression. Ressortant ma bite de son sexe, je la plaçai sur la raie de ses fesses que j’avais au préalable légèrement écartée afin d’y faire quelques mouvements de va-et-vient.

— Non ! Pas ça s’il te plaît ! me dit-elle.

Il n’était pas dans mes intentions de l’enculer même si ce n’était pas l’envie qui me manquait mais c’était déjà bien que je puisse me la tirer de la sorte. Je m’empressai de remettre ma bite au chaud. Le plaisir ne fut pas long à venir et malgré les circonstances, elle jouit en même temps que moi. Elle me sentit gonfler en elle et elle exprima sa jouissance et la mienne par un « oui » révélateur interminable. Je venais d’éjaculer en elle. Ce moment fut intense. Je venais de lui inonder les entrailles de mon sperme. De longs jets, qui m’obligèrent à l’empoigner par les hanches en la serrant très fort. Mon bas-ventre venait claquer avec force contre ses fesses.

Elle se relâcha pour se plaquer contre le billard. J’étais plaqué contre elle et je lui embrassais tendrement le haut du dos et le cou. Après quelques secondes qui me parurent une éternité, je me redressai et me reculai. Ma bite sortit de son petit nid douillet. Elle était toute brillance de sécrétions de Stéphanie et commençait déjà à retomber. Stéphanie se redressa et se retourna. Ses yeux brillaient comme ceux d’un enfant, un matin de Noël, devant ses cadeaux. Elle me sourit, me gifla et m’embrassa en me roulant une pelle que je n’oublierai pas de si tôt.