Une partie de billard pas comme les autres
Datte: 10/02/2021,
Catégories:
fh,
vacances,
sport,
pénétratio,
occasion,
Auteur: Le Concombre Masqué, Source: Revebebe
L’histoire que je vais vous conter est entièrement vraie (ou est-ce entièrement un fantasme ?). Elle est certes un peu longue mais le réalisme n’a pas de prix. Les dates, les lieux, les prénoms, les faits sont entièrement vrais.
Cela s’est passé un été, un vendredi de juillet exactement, alors que j’étais en week-end dans mon village natal, chez mes grands-parents. À l’époque, j’allais sur mes vingt-quatre ans et malgré le fait que j’étais toujours en très bonne compagnie (féminine), j’étais célibataire.
Ce jour-là, il faisait très chaud malgré l’heure tardive. Je sortais de table et décidai de faire un tour dans le village en voiture. C’est là que je rencontrai Jean-Luc, un bon copain un peu plus jeune que moi. Après avoir discuté un moment, l’idée lui vint d’aller voir Stéphanie qui habitait chez ses parents dans le village d’à côté car ils avaient une piscine, donc de quoi se rafraîchir. En arrivant, Jean-Luc et moi constations avec amertume que la piscine était couverte. Stéphanie, nous ayant entendus arriver, vint à notre rencontre pour nous dire bonjour. Elle nous sauta au cou pour nous faire la bise. Elle avait ce tempérament de certaines filles du sud, chaud, très expressif et très vivant. Comme à l’accoutumée, elle était habillée de la manière la plus simple du monde : un tee-shirt blanc, trois fois trop grand pour elle, avec un cartoon d’imprimé, qui lui dégageait le cou et la nuque et qui lui tombait jusqu’à mi-cuisse. Stéphanie était une jeune fille qui ...
... venait tout juste d’avoir ses dix-huit ans et Dame Nature l’avait plutôt bien gâtée.
Voyant notre déception face à cette piscine couverte elle nous expliqua qu’un malencontreux incident le week-end précédent avait obligé ses parents à la vider pour la nettoyer. Elle venait juste d’être remise en eau. Eau bien trop froide pour Jean-Luc et moi ! Elle nous invita à rentrer chez elle pour boire un verre. Aimant le billard, je me rappelais que son père en possédait un à l’étage. L’étage était composé de trois chambres et d’une très grande pièce dans laquelle était installé le billard. Un billard américain d’occasion, mais en très bon état. Jean-Luc était branché billard autant que moi, et nous commençâmes une partie.
Jusque-là tout allait bien, jusqu’au moment où, ayant trop chaud, je demandai à Stéphanie d’ouvrir une fenêtre. Le contre-jour me permit de constater une fois de plus ses chaleureuses formes féminines. En la regardant je me demandai bien ce qu’elle pouvait avoir sous son tee-shirt et la connaissant, je me demandai si elle portait un « soutif ». Elle revint autour du billard pour nous regarder jouer et Jean-Luc me fit signe que c’était mon tour. Après cette vision, je n’avais plus l’esprit à la partie et j’essayai quand même de m’appliquer. Stéphanie ne cessait de tourner autour du billard, de se trémousser comme une pin-up. Jean-Luc gagna de justesse la partie et Stéphanie voulut prendre ma place. Une nouvelle partie commença, totalement inéquitable car son niveau ...