Une partie de billard pas comme les autres
Datte: 10/02/2021,
Catégories:
fh,
vacances,
sport,
pénétratio,
occasion,
Auteur: Le Concombre Masqué, Source: Revebebe
... L’atmosphère était électrique. J’avançai vers elle pour me coller à elle. Elle sentit aussitôt mon sexe bandé dans mon short.
Elle ne put terminer sa phrase. Elle se tut d’un coup !
J’ondulais légèrement des hanches pour me frotter à elle, je bandais de plus en plus, je l’entendais dire :
— Maintenant c’est plus marrant.
— Mais si, au contraire, ça devient très intéressant ! répondis-je.
Mes mains quittèrent ses seins pour redescendre sur son dos. Je me décollais d’elle. Mes mains caressèrent ses fesses au travers de sa petite culotte. Elle ne disait plus rien ! Muette comme une carpe ! Elle se débattait d’une manière quasi imperceptible !
Je décidai de concrétiser définitivement la chose. Je descendis une main entre ses fesses mais elle avait les cuisses serrées. Je passai alors un pied entre ses chevilles, puis le genou, pour lui écarter les cuisses, ce qu’elle fit à ma grande surprise. Ma main put atteindre l’entrejambe qui était humide plus qu’il ne faut. Elle était excitée, autant voire même bien plus de moi. À chacune de mes caresses, tout son corps frémissait. Je glissai un doigt dans sa culotte pour atteindre son sexe humide. Elle sursauta ! Son sexe était chaud, trempé. Le plus délicatement possible, je lui mis un doigt.
Elle avait descendu la tête de sorte que son front reposait sur le tapis du billard. Elle s’offrait littéralement à moi. Après avoir fouillé avec mon doigt son vagin et titillé son clitoris je lui mis un deuxième doigt. Mes deux ...
... doigts étaient trempés. Elle avait vraiment ce que l’on appelle le feu au cul !
Jean-Luc et moi, nous l’entendîmes gémir de plaisir. On ne put s’empêcher de dire :
— Eh bien voilà, c’est comme ça qu’il faut le prendre, il n’y a pas de mal à se faire du bien !
Ma main avait quitté son sexe et je m’empressai de lui retirer sa culotte. Sans aucun mal, je la fis glisser le long de ses jambes. Je m’étais reculé un peu plus pour la lui descendre et pour regarder ce très beau cul que j’allais me farcir. Sa croupe m’était offerte comme sur un plateau.
Je portai ma main au nœud de mon short pour en sortir ma bite. Je bandais au point que cela en était devenu plutôt douloureux et le fait de la libérer me procura une très grande sensation, certes moins grande que celle qui allait suivre car je me rapprochais de Stéphanie, une main sur le bas de son dos, l’autre empoignant ma bite, la décalottant et me masturbant légèrement. Je me collais à Stéphanie et en me couchant sur elle je glissais ma bite entre ses cuisses.
Elle sursauta et laissa échapper une courte phrase à peine audible.
— Fais doucement s’il te plaît.
Le coup d’envoi était donné.
Ses cuisses bien écartées, je repris ma bite en main et du doigt cherchai l’entrée. Après y avoir mis un doigt, ma bite glissa dans ma main et je sentis mon gland entrer en contact avec son sexe. Ses lèvres étaient chaudes et très humides. D’un léger coup de reins, mon gland la pénétra ! Je l’entendis soupirer de plaisir. Alors ...