Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (5) - Histoires de Sexe

Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (5)

... aux pieds. Les deux moitiés s’intégrant l’une à l’autre facilement, se connectant en interne mécaniquement, de façon à ce que les marques de leur séparation soient à peine visibles une fois le tout monté. Et bien cela m’a donné une idée en cet instant.

— Machine-salope.

— Oui, Monsieur ?

— Détache les deux parties de ton corps.

Elle a à moitié allongé son dos sur le matelas, restant face à moi en s’appuyant sur ses avant-bras et ses coudes, les jambes ballant dans le vide à l’extrémité du lit. Une série de cliquetis se sont fait entendre et sa partie inférieure est tombée de quelques centimètres d’abord, puis a commencé à glisser avant que je ne lui attrape les hanches pour l’empêcher de chuter au sol. J’ai retourné complètement cette partie inférieure, fesses vers le plafond, et j’ai posé ce bassin artificiel sur le bout du lit. Le haut du FG-61 est resté immobile, ses yeux fixés sur ce que je faisais sans trahir la moindre émotion, si ce n’est une acceptation muette. En tapotant l’appareil que je venais de retourner, je lui ai soufflé :

— C’est quoi ça ?

— C’est mon bassin, Monsieur.

— Non.

— Ce sont mes fesses...

— Non, c’est ton cul.

— C’est mon cul, Monsieur.

Je me suis approché et j’ai posé mes couilles et mon sexe dessus, sous le regard attentif du robot. Je lui ai dit :

— Il appartient à qui ton cul ?

Elle m’a regardé droit dans les yeux, et sans ciller, m’a dit le plus naturellement du monde :

— A vous, Monsieur.

— ...

... Dis-le.

— Mon cul est votre propriété, Monsieur.

J’ai pressé mes couilles sur son postérieur et j’ai commencé à me branler très vite. Je lui ai demandé :

— T’es quoi, toi ?

— Vous vous référez à moi en utilisant les mots ‘Barbie pute’, ‘putain’, ‘salope’ et ‘machine-salope’. Avez-vous une préférence ?

— T’es ma Machine-salope.

— Très bien, Monsieur. Je suis votre « Machine-salope.

— Pour me vider les couilles... Oui...

— J’ai été conçue vous vider les couilles, pour gicler tout votre sperme...

— Cochonne.

Je me branlais de plus en plus vite, alors je lui ai ordonné :

— Fais-moi jouir, sale pute.

Sans arrêter de me fixer, elle s’est redressée par la force de ses bras et s’est approchée de son propre cul. Elle s’est penchée en avant, s’allongeant sur sa poitrine mignonne. Enfin, d’un geste expert, elle a enfoncé ses pouces dans les deux côtés de sa petite culotte, à travers le pantalon, pour pouvoir se défroquer elle-même d’un coup sec. Ce qu’elle a fait sans hésitation. Elle était cul nu devant moi, son pantalon et son sous-vêtement baissés jusque-là où finissent ses fesses, dissimulant ainsi son sexe. Mais surtout, elle a posé son menton sur sa propre raie et a tiré la langue vers le bas, dans l’attente de mon jet de foutre. Je n’en pouvais plus, je lui ai dit :

— Pas mal. Oui... Lèche ton petit trou.

Elle a dû avancer plus avant la partie supérieure de son corps avant de pouvoir atteindre son anus. Mais une fois cela accompli, elle s’est ...