Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (5) - Histoires de Sexe

Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (5)

Chapitre 5 : Machine salope

Après ce rencard fou au Musée avec Melina, nous nous sommes embrassés et pelotés comme des adolescents en manque, dans la rue en face du bâtiment, à la vue de tout le monde. Nous n’avons pas terminé la visite virtuelle : nous étions trop excités et il nous fallait sortir de là pour que je puisse au moins lui mettre la main au cul sans craindre de me faire mettre à la porte, même au risque d’être jugé par les passants. J’avoue que je suis allé jusqu’à la doigter au milieu de la rue. Personne ne nous a rien dit. Les gens ont trop peur d’avoir mal interprété la situation. Mais non, nous étions bien là pour nous faire plaisir comme des cochons. Malheureusement tout cela a été interrompu par le fait qu’elle a dû partir à un rendez-vous, comme elle m’avait prévenu qu’elle le ferait.

Je me suis donc précipité chez moi. J’avais bien l’intention de continuer d’explorer mes fantasmes sans elle. Cette visite au Musée avait radicalisé ma perversion. Dès que je suis arrivé, je me suis précipité sur l’ordinateur pour commander en ligne un module que je pourrais ajouter à l’entrejambe de mon androïde femelle lorsque j’en aurais envie : une bonne queue et les couilles qui vont avec. Mais en attendant que cet ajout arrive, j’avais d’autres projets en tête.

Je suis allé à la rencontre de mon androïde FG-61 d’un pas assuré, et j’ai réglé les paramètres pour que « l’interaction humaine » soit à 50% de réalisme. J’ai vu cette belle jeune femme ouvrir les ...

... yeux comme si elle sortait d’un rêve paisible.

— Bonjour, m’a-t-elle dit avec douceur, de la voix des filles timides qui ne veulent pas s’imposer.

Ce à quoi je lui ai répondu sèchement :

— Lèche-moi le trou du cul.

Pendant une fraction de seconde, j’ai vu un air surpris sur son visage qui a pour seule fonction d’imiter l’humanité, et d’assouvir mes pulsions.

— Oui, Monsieur, fit-elle.

J’aurais juré avoir entendu une pointe de résignation dans sa voix, comme si elle était consciente d’à quel point cela était dégradant, mais je m’en foutais. C’était mon jouet, elle et sa petite gueule d’ange.

Je me suis tenu debout en face d’elle après cette injonction. Je n’ai même pas esquissé un geste pour retirer mon pantalon moi-même ou pour lui tourner le dos. Elle m’a regardé dans les yeux quelques secondes en s’approchant de moi. Un autre jour, ses magnifiques yeux bruns m’auraient fait chavirer en raison de leur tendresse, mais ce jour-là je n’avais qu’une idée en tête : dominer ma petite pute. Après tout, je l’ai achetée, ce qui rend les choses très claires sur ce point ! Elle a baissé ses yeux timidement et aussi pour mieux s’appliquer sur le fait de retirer ma ceinture, mon pantalon, et enfin mon caleçon. Je ne l’ai aidé à aucun moment. Elle a dû me soulever le pied pour retirer mes vêtements.

Finalement, elle m’a contourné. Je l’ai entendue s’agenouiller. Elle a gentiment écarté mes fesses sans me brusquer et a pressé son visage androgyne contre sa nouvelle ...