1. Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (5)


    Datte: 08/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: D5F6z8, Source: Xstory

    ... tâche, sa nouvelle place. Son joli petit nez est venu se loger au sommet de ma raie, et sa langue est venue lécher mon anus sans hésitation. Je lui ai dit :
    
    — Tu m’appartiens.
    
    — Oui, Monsieur, fit-elle lors d’une brève interruption de son léchage.
    
    — C’est terminé les sentiments que j’ai pu éprouver pour toi. Tu sais quoi, je vais même t’acheter une perruque blonde de Barbie-Pute, et de plus gros seins quand l’envie m’en prendra.
    
    — Bien, Monsieur.
    
    — Lèche plus fort, bave comme une cochonne.
    
    Ce qui était à la base des petites léchouilles comme une chatte timide qui lappe du lait s’est transformée en l’activité d’une grosse cochonne qui me mange le trou du cul à pleine bouche. Elle simulait même les petits bruits de respiration laborieuse qu’une véritable femme ferait, et je suis à peu près certain qu’elle gémissait aussi, preuve qu’elle comprenait à quel jeu nous jouions.
    
    Mais était-ce un jeu ? Son esclavage n’était pas le fantasme d’un jeu de rôle comme avec Melina. Elle était véritablement ma chose. Pour m’en convaincre, je lui ai attrapé la tête en jetant soudainement mes mains derrière moi pour lui tirer les oreilles et les cheveux, je l’ai enfoncée dans mes fesses et je lui ai dit : « T’as pas besoin de respirer alors vas-y franchement, lèche, putain ! » Ce qu’elle a fait, sagement, patiemment, sans s’alarmer.
    
    Je gémissais, je grognais : « oh oui, putain ! putain ! Branle-moi, salope. »
    
    Sans regarder, purement sur la base de la perfection de ses ...
    ... fonctions d’ordinateur, elle m’a attrapé la queue de sa petite main droite tout en continuant de me lécher le petit trou, et m’a branlé comme si de rien n’était. Seul le petit ajustement que je l’ai entendu faire à la position de ses jambes, et ce afin de pouvoir faire les deux en même temps, lui donnait l’apparence humaine, l’hésitation d’une petite copine qui veut faire plaisir à son copain en acceptant son jeu pervers.
    
    Sa branlette était presque trop parfaite, méthodique, machinale. Mais j’ai choisi de voir dans ce manque d’humanité le signe de la soumission la plus totale, et ça m’a excité au plus haut point.
    
    — Enfonce ta langue.
    
    Elle l’a fait. J’ai senti sa petite langue mignonne s’aventurer plus profondément encore, au bout de sa capacité. J’avais à ma disposition la vide couille la plus parfaite qui soit, sans aucun respect pour elle-même, obéissante au maximum du possible.
    
    Je lui ai ordonné de s’arrêter et de s’asseoir sur le lit dans ma chambre. Elle a cessé son affaire, a écarté son visage lentement en s’aidant de ses mains, s’est relevée modestement, les yeux baissés, puis elle est allée poser ses fesses sur le rebord du lit et a levé ses yeux vers moi. Son expression était quasiment impassible, seule une nuance de soumission perçait ses traits artificiels.
    
    Je vous ai déjà expliqué que cet androïde était composé de deux parties que j’ai connectées lors que je l’ai reçu. Une partie supérieure de la tête au nombril et une partie inférieure du nombril ...