1. Patricia ou Rana ou Eloïse


    Datte: 08/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... avons un passé commun et la femme de Claude a volontairement marqué l’avantage d’avoir été la première amante après Patricia. Je rends le baiser chaleureux, je consens au bouche-à-bouche attendu. Moi aussi j’ai des besoins et des envies sous la ceinture, je le montre et j’indique en même temps indirectement à Rana où vont mes préférences.
    
    Nous poussons Claude dans la chaufferie et l’attachons dans un troisième coin sous le regard horrifié de Patricia. Voilà réunis les tricheurs liés et à l’état de nature et leurs cocus : Eloïse, Rana et moi. Passons les présentations. Les deux femmes observent celle qui a corrompu leur mari. Je fais une mise au point pour rappeler que Patricia est entrée dans un système qui exploite beaucoup d’autres filles naïves ou victimes de leurs sens, à la recherche de gains faciles et/ou de plaisirs sexuels garantis en nombre et en qualité. Elle est une partie d’un troupeau de ces victimes à qui il suffit d’oublier qu’on les observe pour qu’ elles jouissent comme jamais elles n’ont joui.
    
    Rana ne perd pas le nord. Oublié et rejeté Mamadou, elle renonce à moi, Serge, trop proche d’Eloïse et elle jette son dévolu sur Claude. Le malhonnête recruteur a les mains dans le dos. Pendant sa détention en cave, à l’heure du pain sec et du verre d’eau, Eloïse l’a masturbé plusieurs fois mais a su arrêter le jeu de mains avant l’éjaculation. Il a les couilles bien pleines. Dès les premiers attouchements de Rana il se met à bander.
    
    - Eh bien, ma chère ton ...
    ... mec est plutôt réactif. C’est à peine si je l’ai tripoté. Il ne lui en faut pas beaucoup pour lever la queue en direction du plafond. Tu permets que j’insiste un peu. De ton côté tu peux t’occuper de mon bonhomme. C’est un gros porc, je n’en veux plus. Branle-le, suce-le, baise-le si tu veux : je m’en fous.
    
    – Fais comme il te plaira. Le mien ne vaut pas mieux que le tien. Ces deux crapules traitent les femmes comme des objets. Si ses bonnes dispositions te conviennent, sers-toi.
    
    - Merci, je vais le soigner. Hélas le mien a vécu une chaude matinée avec sa petite pute, il réagira peut-être moins spontanément que ce beau garçon. Avec un peu de patience, tu pourrais cependant réussir à lui redonner forme.
    
    Rana n’a pas besoin d’encouragements. Comme Patricia et Mamadou, Claude a les mains dans le dos, repose sur les fesses, pieds tendus vers le centre de la pièce. Rana qui l’avait effleuré en se courbant pour taquiner sa verge, s’agenouille à hauteur du bas ventre pour l’entreprendre plus commodément. Elle soupèse les roubignolles, hoche la tête satisfaite du volume tenu. Sa main remonte la tige, va rabaisser le prépuce et offre le gland à la pointe de sa langue rose.
    
    Claude se réjouit et souhaite que le supplice dure. La langue fait des va-et-vient sur la longueur du pipeau, étale de la salive dessous, dessus, sur les côtés, prépare la prise en bouche du scrotum avant celle du sexe entier. Alors on lit sur les joues de la gourmande les aspirations successives auxquelles ...
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