Doux souvenirs
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
voyage,
train,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
Auteur: Sandrine, Source: Revebebe
... sentie partir de nouveau. Je le serrai très, très fort, je lui dis que je venais. À cet instant il a accéléré ses mouvements. Sa respiration est devenue plus rauque. J’ai compris que lui aussi allait jouir. J’ai essayé de toutes mes forces de ne pas partir, de me retenir encore quelques secondes. Mais ce fut impossible. Je suis partie et, dans le même instant, j’ai senti que lui aussi se contractait et éjaculait dans deux à trois jets importants. Il a murmuré « petite pute, tu m’as fait jouir », « il y a si longtemps », «… ».
J’étais morte. Il est resté un long moment en moi sans bouger. Sa tête dans mon cou ses lèvres contre ma peau. Je le sentais toujours dans mon ventre. Puis, je suis tombée dans les bras de Morphée sans m’en rendre vraiment compte. Je me souviens uniquement qu’il avait rallumé la lumière et de l’impression érotique que l’on me suçait les seins.
Je me réveillai le lendemain matin. J’étais seule dans un lit inconnu, entièrement nue, ma chemise de nuit à côté de moi. Les volets étaient entrouverts et la clarté du jour rentrait dans la chambre. Je reconnais qu’il m’a fallu deux à trois secondes pour comprendre et me souvenir où j’étais. Je me levai. Nue, je regardai par les volets entrouverts. Une petite cour intérieure loin en bas, des fenêtres aux volets clos, le silence, le soleil qui éclairait l’immeuble. Je mis le peignoir qui était toujours sur mes affaires et suis sortie de la chambre. J’avais besoin d’aller à la salle de bain.
Il était ...
... dans la cuisine. Me sourit en me disant bonjour et déposa un petit baiser sur mes lèvres. Je filai à la salle de bain, et pris une douche bien chaude. Je suis sortie propre et nue sous mon peignoir. Il m’attendait dans le salon devant un plateau de petit déjeuner. Il avait déjà pris sa douche et était lui aussi nu sous son peignoir. Il sourit et me demanda si cela allait. Disant que je m’étais endormie trop vite, il avoua qu’il en avait profité pour me regarder dormir. Me disant qu’il m’avait ôté la chemise de nuit avec mille précautions pour ne pas me réveiller. Je n’osai imaginer son regard, ses pensées sur mon corps nu.
Nous avons déjeuné tous les deux. Il restait plus de trois heures avant d’aller à Perrache. Il alla chercher sa plaquette de Viagra. Il me dit qu’il l’avait depuis des années. Il en manquait deux, une qui avait été utilisée hier soir. Et une qu’il avait prise en préparant le petit déjeuner. Je compris ce que cela voulait dire.
Le petit déjeuner étant terminé depuis un moment déjà. Il s’est levé et a pris ma main, m’obligeant à le suivre dans la chambre. Je me suis assise et ensuite allongée sur le lit. Il s’est penché sur moi, a dénoué la ceinture du peignoir, en a écarté les pans. Il a regardé mon corps. Sa main est venue sur mes seins, mon ventre entre mes cuisses qu’il a écartées. Il s’est penché sur moi. Il a posé ses lèvres sur mes seins, puis sous mon nombril. Son visage, sa bouche sont venus à l’intérieur de mes cuisses. Je regardais le crucifix ...