1. Doux souvenirs


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fh, hplusag, hagé, voyage, train, Oral pénétratio, confession, occasion, Auteur: Sandrine, Source: Revebebe

    ... peignoir, pieds nus avec mes vêtements et chaussures dans la main.
    
    Il m’attendait devant la porte d’une chambre.
    
    — J’ai déposé ton sac ici, poussin. Je te laisse, je fais ma toilette, je ne serai pas long.
    
    Il me montra mon sac sur un fauteuil.
    
    — Je te laisse, Sandrine.
    
    La chambre était comme les autres pièces de la maison, grande et froide. Le lit était très haut et très grand, avec une tête de lit en fer et des boules en cuivre. Il y avait aussi une grande armoire avec un miroir. Au-dessus du lit, il y avait un immense crucifix. Un fauteuil crapaud et deux tables de nuit étaient le reste du mobilier. Une lampe avec abat-jour était allumée, il l’avait recouverte d’un tissu bleu qui donnait à la pièce un air lugubre. Le crucifix au-dessus du lit n’arrangeait rien, bien au contraire. Les draps étaient propres. Il venait certainement de les changer. Je quittai mon peignoir et le posai sur mes affaires qui étaient sur le fauteuil. Le lit était froid. J’étais plus trop rassurée maintenant. Une boule d’angoisse commença à me nouer le ventre. Je n’avais pas vraiment peur. Mais une légère appréhension, je crois que je n’aurais pas dû accepter. Les volets et les rideaux avaient été tirés. Il n’y avait aucun bruit, ni de l’extérieur, ni de l’immeuble. La sensation d’être seule, isolée sans défense. Si je devais appeler, personne n’entendrait mes cris. Pourquoi avais-je de telles pensées à ce moment, j’essayai de les chasser de mon esprit.
    
    J’attendais, couchée dans le ...
    ... lit les draps relevés jusqu’au menton. Je l’entendais dans la salle de bain prendre sa douche. J’essayai de ne pas trop réfléchir. Je n’étais plus aussi sûre de moi. Je regardai le crucifix qui semblait m’observer. Ce n’était pas fait pour me déculpabiliser, bien au contraire. Je frissonnai, il sortit de la salle de bain. Et rentra dans la chambre avec un peignoir blanc. Il l’a enlevé et laissé tomber sur le sol. Il était entièrement nu. Je ne pouvais pas ne pas le voir. Maigre et grand, la peau très blanche il avait la poitrine en partie recouverte de poils gris et blancs. Son sexe en demi-érection sous l’effet d’une pilule de viagra semblait plus long, mais moins épais que celui de Jean. Le gland entièrement décalotté de couleur presque violette était humide. Il s’assit sur le lit avent de venir sous les draps et de se tourner vers moi. Mon cœur alla d’un coup un peu plus vite. Je lui demandai de bien vouloir éteindre, que cela m’aiderait au début. Il voulait bien, et me comprenait. L’obscurité la plus totale dans la chambre, pas un seul bruit ne venant de l’extérieur, le silence.
    
    Il s’est approché de moi. Il s’est collé contre moi, son corps contre le mien, m’a prise dans ses bras. J’ai senti son visage contre le mien. Sa bouche qui venait sur mes yeux, mon front et mes lèvres. Ses lèvres, son souffle sur mon visage, je le pris dans mes bras. Il est venu en partie sur moi. Je sentis son sexe contre ma hanche.
    
    Ses lèvres qui cherchèrent les miennes, premiers baisers ...
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