La luxure - La paresse
Datte: 01/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
complexe,
Oral
69,
légumes,
fdanus,
aliments,
Humour
Auteur: Vagant, Source: Revebebe
... que j’arrive ! dit Lucienne en s’allongeant tête-bêche sur mon corps.
Je sentis ses seins s’écraser sur mon abdomen recouvert de glace au chocolat, et mon phallus disparaître entre ses globes charnus, comme mon visage s’était déjà perdu au cœur de sa croupe enveloppante. Je baisais, je léchais, je suçais indifféremment tout ce qu’elle me présentait tour à tour, de son clitoris turgescent à son anus palpitant, en passant par sa vulve molle et juteuse comme un abricot trop mûr. Je ne voyais rien d’autre que sa peau tabac, plus foncée et froncée aux abords de son petit trou, pourpre à l’orée de son calice.
Seuls les gloussements, soupirs et suçotements qu’émettaient Lucienne et Christelle me permettaient d’imaginer la lutte homérique qu’elles se livraient pour sucer les reliefs de ma banana split. Privé de tous repères visuels, mes pensées se perdaient dans le gouffre de mon imagination lubrique. Un simple gloussement de Christelle, et j’imaginais Lucienne lui laper une goutte de chocolat fondu à la commissure des lèvres. Il suffisait que le con de Lucienne jute un peu plus dans ma bouche, pour que je soupçonne Christelle de sucer les tétons chocolatés de la voluptueuse antillaise. Un va-et-vient des lèvres de la jeune fille tout au long de ma hampe, et je rêvais que Lucienne tenait la tête de Christelle entre ses mains pour lui indiquer le rythme et l’ampleur du mouvement, à moins que ce soit l’inverse !
J’ai tendu les mains pour vérifier mes hypothèses. Elles se sont ...
... égarées dans des chairs molles, entremêlées, lourdes et chaudes, indifférenciées : le corps de la luxure. En fin de compte, j’ai préféré enfoncer un doigt dans le petit trou noir qui palpitait sous mes yeux. Lucienne s’est redressée, haletante, elle a attrapé quelque chose derrière moi et me l’a mis entre les mains. C’était une énorme banane plantain, encore verte et bien dure, longue d’une bonne trentaine de centimètres.
— Mets-moi la banane ! Mets-la-moi bien profond dans la chatte, j’aime les gros calibres ! m’a-t-elle soufflé entre deux gémissements.
J’ai pointé le bout de la banane recouverte d’un préservatif à l’entrée de sa vulve épanouie, et j’ai poussé doucement. Sa fente s’est ouverte, s’est dilatée pour accueillir le gros fruit oblong qui la pénétrait. Lorsque je faisais mine de la retirer, les chairs roses de Lucienne qui émergeaient de sa chatte brune donnaient l’impression d’aspirer la banane avec laquelle j’ai commencé à la pistonner.
Mon poignet en bielle imprimait un mouvement de va-et-vient à la banane piston qui coulissait dans son vagin monocylindre. À chaque tour, sa cyprine visqueuse coulait dans ma bouche en carter moteur. Avec un doigt dans la culasse et ma langue à l’allumage, Lucienne rugissait toutes soupapes ouvertes, comme un avion de voltige prêt au looping. Entre ses cuisses grandes ouvertes en guise d’ailes vrombissantes, je la voyais s’agripper à mon manche vertical. Il a disparu sous le ventre de Christelle accroupie, ample comme un ...