1. La luxure - La paresse


    Datte: 01/02/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, jeunes, couleurs, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, Oral 69, légumes, fdanus, aliments, Humour Auteur: Vagant, Source: Revebebe

    Les mains de Christelle sont parties explorer mon corps, mon buste luisant, mon ventre maculé où elle a dessiné des arabesques de chocolat du bout des doigts, et mes cuisses qu’elle a écartées pour y prendre place. Accroupie entre elles, elle a entrepris de me nettoyer les couilles de la pointe de la langue, lapant comme une petite chienne la glace fondante qui y coulait en gouttes épaisses et sirupeuses.
    
    — Laisse-m’en un peu Christelle ! Petite égoïste, tu n’as même pas pensé à ce qu’allait déguster notre jeune invité ! gloussa Lucienne derrière moi.
    
    J’ai tourné la tête vers l’opulente antillaise qui me tournait le dos. Elle me jetait des œillades égrillardes par-dessus son épaule. Son dernier vêtement, un string rouge qu’elle s’apprêtait à retirer mais qui disparaissait déjà entre les plis de sa croupe grandiose, donnait l’impression d’entourer une énorme faute en rouge : son impudicité. Elle s’est penchée en avant pour le faire glisser tout au long de ses jambes tendues, exhibant sous mes yeux ébahis un cul ferme et haut placé, dont chaque fesse avait la taille et la rotondité d’un ballon de basket.
    
    — Tu veux goûter mes grosses boules au chocolat ? À la chantilly, au coulis de framboise, ou bien nature ?
    — Heu… coulis de framboise, peut-être ? suis-je parvenu à articuler, les lèvres sèches.
    
    Lucienne a attrapé un pot de confiture sur une étagère, elle est montée sur la table tout en se dandinant, et une fois debout, elle a mis un pied de chaque côté de mon ...
    ... visage, m’offrant une vue plongeante sur son obscur entrecuisse. J’avais l’impression d’être allongé entre les colonnes d’un temple de marbre brun de Vérone, dont les fesses en chapiteau soutenaient un monument de luxure.
    
    Soudain, ce fut le tremblement de terre. Sans qu’un seul autre muscle ne bouge, les fesses de Lucienne ont semblé s’animer de leur vie propre, indépendante du reste de son corps, comme un Mapouka luxurieux avant l’heure. Peu à peu, elle a fléchi les jambes tout en ouvrant le pot de confiture, sans que ses fesses ne cessent jamais de trépider. Elle a plongé les doigts dans le pot, et lorsque sa croupe a cessé enfin de s’agiter à quelques centimètres de mon visage cramoisi, elle a étalé généreusement la confiture rouge sang, de sa vulve luisante aux confins de la raie du cul. La matière poisseuse collait à ses poils pubiens ras et crépus, luisait sur les lèvres de sa vulve noire, ouverte sur ses chairs rosées au bout desquelles pointait déjà le capuchon brun de son clitoris gros comme un petit pois à écosser. À l’autre bout, les grumeaux de confitures semblaient dessiner une étoile de mer dont son petit trou était le centre.
    
    — Bon appétit mon grand ! me dit Lucienne en barbouillant mon visage avec sa vulve ruisselante de mouille aromatisée à la framboise, à moins que ce soit l’inverse.
    
    Pendant ce temps-là, Christelle m’avait soigneusement nettoyé les testicules, et elle léchait déjà la glace qui fondait irrémédiablement sur mon ventre.
    
    — Il était temps ...
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