1. Sapide, sapide


    Datte: 28/01/2021, Catégories: fh, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Igitur, Source: Revebebe

    ... lorsque ses mains furent fermement posées sur le haut de ses cuisses, Marie-Cécile ouvrit les yeux et accueillit avec un plaisir qui la surprit elle-même la bouche qui se posait sur sa bouche, la langue qui venait dessiner autour de sa langue des volutes. Elle réalisa que cette sensation qu’elle avait éprouvée dans l’escalier n’était autre que le désir, un désir puissant ravageur qui, le vin aidant, s’emparait d’elle. Elle déboutonna la chemise de Gaston et découvrit un torse puissant et velu qu’elle caressa et embrassa avec une fougue dont elle ne se croyait pas capable.
    
    Toute son éducation de jeune fille volait en éclats. Elle avait envie de consommer cet homme musculeux, de le toucher, de le sentir, de le déguster avec tous ses sens. Elle le trouvait aussi "sapide" que sa viande séchée, du "nanan", du "mâle à bonheur". Elle sentait contre sa cuisse un sexe d’homme, dur, tendu par le désir et, elle, qui n’avait jamais vraiment regardé le pénis de ses amants, éprouva l’envie violente de manipuler celui-là, de le caresser, de l’embrasser, de l’engloutir. Elle se cabra vivement, retourna Gaston sur le lit et se retrouva à cheval sur lui.
    
    En ondulant du bassin pour que son sexe caresse l’érection de Gaston elle se déshabilla dans un strip-tease langoureux, se délectant de l’effet produit dans le regard lumineux de son partenaire éberlué. Torse nu, la poitrine dressée, elle continua de se frotter lentement sur le dard de Gaston qui caressait ses petits seins, jouant de ...
    ... temps à autre avec ses tétons tendus entre ses gros doigts. Ivre de désir Marie-Cécile recula lentement s’allongea sur les jambes de Gaston et caressa son sexe à travers le pantalon de velours côtelé avec sa joue et avec ses lèvres.
    
    L’odeur puissante de l’homme excitait encore son désir, il le lui fallait, elle le voulait. Elle se précipita sur le pantalon, fébrilement, elle avait du mal à déboutonner la braguette, à défaire la ceinture. Ses doigts fins manucurés poussaient les boutons, tiraient l’étoffe épaisse à grand-peine. Finalement, les boutons cédèrent et le pantalon s’ouvrit comme une fleur qui s’épanouit, découvrant un slip blanc assez démodé moulant un sexe épais, légèrement courbé terminé par un gland charnu. Elle plongea son visage sur cet entrejambe et inspira longuement l’odeur envoûtante de l’homme, de l’amant.
    
    Jusque là pour elle, la sexualité avait toujours été associée, dans la pénombre, à des odeurs aseptisées de chimie cosmétique, savon, déodorant, eau de toilette, soudain elle découvrait l’odeur fauve du mâle, la saveur d’une peau moite, le plaisir d’observer l’objet de son désir, de contempler au grand jour l’effet de ses caresses sur le désir de l’autre. Surtout, elle découvrait avec stupéfaction le désir animal qui était jusqu’alors resté enfoui en elle. Elle comprenait pourquoi son plaisir, allongée sur le dos, jambes écartées, yeux fermés, avait toujours été mitigé, avec ce relent d’insatisfaction qui lui laissait penser « Ce n’est que cela ...
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