Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (52) : Agun mon amour, mon épouse.
Datte: 27/01/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... attouchement.
J'ai peur et honte à la fois du plaisir que je prends. Je calme mon inquiétude, en me disant que c'est une pro et que je ne dois pas être la première qu'elle voit dans un tel émoi. Alors je me laisse aller. Ses pouces commencent un travail de pétrissage. L'ambiance est devenue électrique, plus une parole, l'on entend plus que mes petites plaintes que je ne peux empêcher et sa respiration haletante. Les yeux fermés, ma tension sexuelle est à son paroxysme.
Elle pétrit mon cul. Serrant mes fesses, puis les écartant. Je ne peux retenir un râle de jouissance et soulever mon derrière. Sa main glisse entre mes jambes, fait ventouse sur ma chatte et la masse. Ses doigts parcourent les lèvres de ma vulve, à la recherche de mon clitoris, qu'ils trouvent facilement, gonflé et fier que l'on s'occupe de lui, depuis le temps qu'il appelle !
Elle fait des cercles, le masse, le branle. Tout y passe pour son bonheur et le mien. Son autre main ne reste pas inactive, elle écarte mes babines ruisselantes de cyprine et pénètre ma chatte avec deux doigts.
Mes gémissements se sont transformés en cris. Je serre, dans mes parois vaginales, ses doigts inquisiteurs. Ma cyprine coule, j’enchaine les orgasmes. Je ne peux plus attendre, alors je me laisse aller. Je me cambre, saisis mes seins et, avec des paroles d’amour pour Agun, je tremble et je jouis. Je gicle, inondant ma masseuse.
Ce fut un orgasme ravageur, intense ! Je me suis effondrée sur la table et quand j'ai ...
... repris mes esprits, Agun me prit dans ses bras. Elle m’offrit ses lèvres et j’allais pouvoir à mon tour la faire jouir. Nous nous sommes gouinées en 69.
Agun était exclusivement lesbienne, elle avait su deviner que j’avais besoin d’une telle relation. De même que Pierre, le soir de mes noces, m’avait fait me souvenir du plaisir incommensurable d’appartenir à un mâle, Agun m’avait rappelé oh combien j’aime les caresses des femmes.
C’était une nouvelle brèche dans mon serment de fidélité prêté un an auparavant au nom du code civil. Et surtout parce que je n’en ai parlé que bien plus tard à Philippe. Je n’en ai d’ailleurs parlé à personne d’autre. Je ne voulais pas que quiconque, y compris Philippe, puisse s’ingérer dans notre relation qui était belle, tendre, chaude. Ma masseuse était folle de moi et j’étais aussi amoureuse.
Notre liaison a duré plusieurs mois et a apaisé ma frustration, même si rien ne peut remplacer un vrai mâle.
Agun a dû ensuite rentrer dans son pays, pour des raisons familiales. Ma jolie thaïlandaise a pleuré toutes les larmes de son corps et nos adieux furent déchirants. Elle m’avoua alors son amour éternel et exclusif, alors que je lui disais qu’elle était libre et devait vivre sa vie.
Nous ne sommes pas perdues de vue, au contraire nous sommes restées en contact.
J’ai voulu plusieurs fois aller en Thaïlande et, finalement, je n’y suis allée qu’une fois en 2013, sur l’insistance de Philippe, pour la rejoindre. Presque 10 ans sans la voir, ...