Accueil déshérités 1.
Datte: 27/01/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... la pose entre les planches de séparation
- Georgette, viens m’aider. C’est du frais en bon état. Tiens-le à la base, il veut une pipe. Je le commence et si tes mâchoires sont encore en forme tu pourras l’achever. Montre lui tout ce que tu sais faire. Donne lui envie de revenir. C’est du beau, c’est du neuf, il faut le fidéliser.
Le silence est relatif.
Une sensation de chaleur et d’humidité enveloppe mon gland. Un doigt passe sous ma queue et vient chatouiller mes couilles. Je laisse faire. La bouche est experte, les dents frottent juste assez pour énerver, la langue tourne autour de ma tige. Il se produit un changement de main.
- A toi Georgette, suce. Il est presque mûr, il va éjaculer. Quand le sperme jaillira présente la tasse, il ne faut rien perdre. Ça servira pour l’insémination . Attention voilà la responsable de la salle. Madame Lili, il y a un nouveau, vous voulez goûter.
- Folle, fait la voix connue de ma femme, j’ai tout ce qu’il faut à la maison. Ah Marie, tu tournes le dos au mur. Il a un préservatif ? C’est bien.
- Oui, de l’autre côté il y a un malabar. Regardez l’engin. Beau, grand et épais. Il était temps. J’ai besoin de me faire ramoner. J’en meurs d’envie. Et ce truc me fera grimper au mur. Oh! Vache, quel bélier. Il me défonce le trou.
A deux box de moi, un grand gaillard africain balance son postérieur d’arrière en avant, pousse son ventre vers la paroi et la fait résonner avec son pubis, à chaque coup de sa grosse bite. De ...
... l’autre côté, la fille invisible, chante son bonheur.
- Ho, toi, comment t’appelles-tu ?
Georgette m’interpelle. Je déforme ma voix et donne le même prénom qu’à l’entrée.
- Alors Serge, je te fais cracher ou tu me prends…. Tu voudrais aller en chambre ? Tu vois la porte au fond à gauche. La prochaine fois elle devrait s’ouvrir sur une chambre, c’est en travaux. Tu viendrass, nous nous amuserons et ferons connaissance.
Je remballe mon attirail. Je vise la porte par laquelle je suis venu, je fonce tout droit, salue au passage,
- Alors, réchauffé ?
- Oui, merci, c’est formidable. Merci encore… Oui; à demain!
J’ai eu chaud. Ici on distribue de la chaleur effectivement. Dans le froid du soir, je remarque ma sueur. Je me sauve, trouve un recoin. Lili va avoir fini son service, je l‘attends. Elle sort, accompagnée par un homme de forte stature.
- On se revoit demain. Ah ! Un bisou! Embrasse-moi.
Ils sont debout sous un réverbère. Le gaillard la ceinture, la plie presque en deux, lui masse les seins, le ventre. Sa main descend, saisit le bas de la jupe, remonte entre les cuisses.
- Cesse tes bêtises. Lâche-moi dit Lili avec calme et autorité.
- Quand ferons-nous l’amour ? Pourquoi remets-tu toujours à plus tard ? Pourtant tu mouilles, ta culotte est trempée.
- Non, ne mets pas le doigt, pas touche. Je suis fiancée. Si tu insistes encore je ne collaborerai plus. Évite de m’embrasser. Tes caresses sont stupides, ne recommence plus ou j’abandonne.
- Ça ...