Ayaka
Datte: 24/01/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: LVolante, Source: Hds
... frissonne mais ni le tonnerre, ni la pluie, ni même le froid, ne sont responsables de cette réaction. Oui ! j’ai beau être doté d’une imagination débordante et prendre souvent mes désirs pour une réalité, je suis certain cette fois que nous sommes sur la même longueur d’onde et que nos désirs coïncident bel et bien. Mes mains glissent toujours plus bas et ses fesses leur répondent d’un slow mémorable. Très lentement, je remonte sa jupe. Elle glisse doucement sur ses collants avec un crissement léger, régulier et, évocateur de plaisirs à venir. Toujours ronronnante, la belle se laisse faire. De plus belle elle frotte son museau contre ma poitrine. Je frissonne de froid et de désirs mêlés. Mes mains, chaudes à souhait, s’insinuent sous le tissu léger du collant. La grisette ne porte rien dessous, sa peau est douce contre celle, calleuse, de mes paluches. Je frotte, avec une certaine vigueur, son fessier. Il rosit sous mes doigts. Je le sens. Il s’échauffe. À défaut de pouvoir fesser cette chair fraîche, je la pince, je la malaxe avec la fermeté du boulanger pétrissant sa pâte. La jeune-femme m’encourage. Sa main caresse mon bas ventre faisant, à l’envi, grossir encore mon érection. C’est dans cet état que nous échangeons notre premier baiser. De ma main libre je saisis son sein ; je l’emprisonne entre mes doigts patauds. Il est si menu que je sens à peine le renflement du globe. Seul son téton impressionne ma paume.
Je ne me soucie plus, désormais, ni du vent ni de la ...
... pluie. Le froid lui-même m’est indifférent. Je n’ai en tête qu’une seule idée : baiser cette grisette de toutes les façons que mon imagination puisse inventer…
Déjà, ma bouche saisit son tétin à travers le tissu de son bustier. Je tète et je mordille le petit bout de chair qui durcit sous mes dents. Ma langue virevolte autour de son aréole tandis qu’elle soulève son haut, donnant ainsi le signe du déshabillage. Nos fringues volent dans tous les sens. En un éclair, nous sommes nus. Son collant n’a pas résisté aux assauts de mes doigts, il gît, en lambeaux, sur le sol du chalet, à deux pas de l’imper qui va nous servir de lit.
Délicatement, j’allonge la jeune-femme sur le caoutchouc de l’imper et je prends le temps d’admirer sa nudité. Je salive d’envie et ma langue frétille, impatiente de la goûter. Pourtant, je me fais violence tant il est agréable de voir ce petit corps frissonner dans le froid. Son teint cuivré tranche avec bonheur sur le noir de notre tapis improvisé. Un instant, j’imagine une peau de bête et une cheminée. Mais je reviens bien vite à la réalité, le désir me reprend. Alors, avec toute la douceur dont je suis capable, j’entreprends de dévorer ce délectable pain d’épices. Mes lèvres se posent sur son cou. Lentement, je les laisse dériver plus bas. Toujours plus bas. Jusqu’à sa gorge. Elles happent et pincent son téton droit. Suis-je en train de rêver ou le soupir qui s’échappe de sa gorge est-il l’annonce d’un plaisir à venir ? je ne saurais le dire et, dans ...