1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces (suite et fin).


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... m’abandonne à la force de cette étreinte, me contentant de cris aigus.
    
    Philippe fait encore quelques vigoureux mouvements de va-et-vient, puis se met à râler. Dans un dernier coup de rein, ne pouvant plus retenir sa jouissance, il presse mes fesses, plus fort encore, contre lui, et me tient ainsi, immobilisée, pendant que sa semence déferle en moi.
    
    Je me dégage promptement, furieuse, car je n’ai pas joui et proteste, au bord de l'hystérie.
    
    • Oh mais tu aurais pu m'attendre, monstre !
    
    Peu rancunière, je me retourne et m'avance vers lui à genoux, chaloupant, féline et câline. Je m’approche tout près de son membre repu, qui reprend peu à peu sa modeste taille et se prépare au repos.
    
    Philippe soupire de bonheur et s'étire, comblé.
    
    • Laisse-moi un peu de temps ma chérie, je ne peux plus rien pour toi pour l'instant...
    
    • Ah vraiment, tu crois ça ! C'est bien mal me connaître !
    
    Sauvage et belle à damner tous les Saints, je m’installe devant lui, toujours à genoux, le regard lourd de promesses. Mes mains pressent mon ventre, mes seins, de façon plus que suggestive. Je me penche et touche du bout de la langue le sexe de Philippe qui remue, déjà prêt à se laisser relever, tant la sensation est délicieuse. Je souris malicieusement. Gourmande, je l’engloutis tout entier dans ma bouche et le suce voracement.
    
    • Laisse-moi m’occuper de toi, ma chérie.
    
    Philippe me met sur le lit. Je suis sur le dos, les jambes légèrement écartées pour exhiber mon sexe de femme. ...
    ... Je sais que Philippe adore ce qu’il appelle l’origine du monde, en référence au tableau de Gustave Courbet.
    
    Il ne se lasse jamais d’admirer mon mont de Vénus au naturel, couvert d’une petite toison brune bouclée. Mes lèvres intimes entrouvertes laissent échapper une minuscule perle de liqueur. Philippe a aussitôt envie de lécher cette goutte et d'enfouir sa langue partout à la recherche d'autres saveurs. Il s'approche et respire mon parfum de femme. N'en pouvant plus, enivré à nouveau, il approche sa bouche et la pose sur la tendre ouverture.
    
    Tremblant de désir, il pose ses mains sur mes cuisses pour les ouvrir et mieux positionner sa tête. Il se met à laper à grands coups de langue les petits plis de chair et la fente humide. Bientôt, je suis toute mouillée. Ce n’est pas seulement grâce à ses baisers, une douce humidité coule en abondance, et Philippe la boit avidement. Mon bassin se lève vers sa bouche, recherchant le contact de sa langue quand il s'amuse à lâcher un instant.
    
    Il poursuit de plus belle, guidé par mes mouvements et les gémissements que je laisse échapper.
    
    • Oh Philippe, que c’est bon, comme tu aimes ma chatte, comme tu me lèches bien. Ouiiii
    
    Je me tends soudain comme un arc et pousse des cris de plaisir. Un mélange de joie pure, d'étonnement, de rire étouffé, de jouissance extrême. Je vois combien Philippe est heureux de l’orgasme qu’il m’a donné.
    
    Après l'orgasme, mes jambes se referment toutes seules, telles des ailes de papillon. Philippe ...