1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces (suite et fin).


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... mon mari avait éjaculé en grande quantité devant le spectacle torride que je lui avais offert. J’ai soigneusement léché les traces de son plaisir, tout en lui doigtant le cul
    
    • Tu as aimé ça, mon chéri ?
    
    • J’ai adoré, ça me manquait. Tu sais que tu es une femme exceptionnelle. Tu n’avais pas envie de continuer avec eux ?
    
    • C’est de toi dont j’ai envie maintenant. Hum j’adore ta semence, même quand elle a séché, je ne m’en lasse pas.
    
    • Cochonne !
    
    • Hum je veux te la prendre en bouche, comme j’aime te pomper mon amour.
    
    • Oh mon Olga, aucune femme ne taille mieux les pipes que toi. Ouiiii, gobe-moi les couilles, elles sont bien pleines, pour toi !
    
    • Ne fais pas de comparaison avec une autre femme, je ne laisserai aucune autre t’approcher. Tu es à moi, Philippe T. tu as compris ?
    
    • Oui, je suis à toi, je t’appartiens, Olga T, ma femme, je suis ton esclave.
    
    • Et bien mon esclave, j’ai envie que tu commences par me sodomiser. J’ai soigneusement nettoyé mon cul des traces de ce type et je t’ai réservé une petite surprise. Je veux que tu baises mon cul ! Il est à toi ! Ce type m’a bien ouverte, mais je me suis spécialement préparée pour toi.
    
    Je me retourne vivement et me penche, mettant en valeur mes belles fesses rondes. Fasciné, incrédule, Philippe regarde ce que j’ai dans le cul : un plug. Je l’enlève doucement, révélant une ouverture secrète, rose et luisante.
    
    Philippe lèche son index, l'enduit copieusement de salive, et le glisse juste avant que ...
    ... le petit trou ne se referme. Il entreprend alors de l'agrandir et l'assouplir en le massant doucement, rajoutant de son autre main un peu d'humidité. Quand il réussit à bouger son doigt tout à son aise, il le retire lentement, son sexe se tient tout proche, tendu, prêt à le remplacer aussitôt.
    
    • Hum, c’est bon, tu vas bien m’enculer, mon chéri !
    
    Philippe s’agrippe à mes hanches, plantant profondément ses ongles dans mes chairs. La tête renversée en arrière, les paupières plissées et les lèvres serrées, Philippe lutte visiblement pour tenter de retarder un orgasme imminent. Il me sodomise avec extase, et moi, les yeux révulsés, je gémis sans retenue. Je me tords en tous sens, semble vouloir échapper à l'emprise de mon partenaire. Peine perdue, il n'y a aucune échappatoire, la poigne de Philippe me maintient fort contre lui.
    
    Oh que c’est bon. Jamais il ne m’a si bien enculée ! Je laisse échapper des soupirs qui évoquent autant le plaisir que la force de la pénétration. Ma croupe ondule de façon magnifique, mais Philippe, les yeux fermés, reste entièrement concentré sur la montée de son plaisir, voulant différer encore le moment où il explosera. Je me démène tellement que je réussis à lui échapper l'espace d'un instant. Philippe grogne de frustration, et d'une main, me plaque contre lui de plus belle. Son autre main s'empare de son sexe magnifiquement dressé et l'introduit vivement entre mes fesses. Son membre s'engouffre et disparait entièrement dans mon ouverture. Je ...
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