1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces (suite et fin).


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    Par rapport aux textes que je publie habituellement sur l’histoire du couple très particulier que nous formons Philippe, le mari candauliste et moi, Olga, l’hypersexuelle, ce récit pourra apparaître un peu « décalé ». Un couple qui vient de se marier et qui fait l’amour ensuite jusque l’aube, c’est banal en effet. Pourtant, nos nuits d’amour à Philippe et moi ne sont jamais ordinaires. Avec Philippe, nous baisons ET nous faisons l’amour.
    
    Notre histoire, c’est aussi celle d’un couple amoureux et finalement solide, puisque ce couple a survécu à nos « turpitudes » et qu’il a su rebondir quand il semblait détruit.
    
    Je l’avoue : je suis une femme comblée. J’ai un mari qui m’apporte tout. A la fois, la liberté sexuelle totale, avec d’autres partenaires, à laquelle il m’incite, prenant plaisir à être le témoin, le partenaire de mon plaisir, réalisant par-là son propre fantasme, celui du candaulisme. Mais il m’apporte aussi un amour sans limites, une tendresse, une douceur dont j’ai aussi besoin, sans parler de ses qualités de père de famille et tout ce qui fait la beauté de son âme et tout ce que j’admire chez lui, tout ce qui fait que je suis amoureuse de cet homme et que je ne supporte pas qu’une autre femme prétende l’approcher.
    
    Ce qui distingue fondamentalement la nymphomane de l’hypersexuelle est que la première est en permanence en manque de rapports nombreux qui ne lui apportent d’ailleurs pas satisfaction. Je revendique mon hypersexualité, mais j’ai aussi besoin de ...
    ... la tendresse et de l’amour d’un homme dans des rapports de couple « normaux »
    
    Avoir tout cela à la fois, est une chance exceptionnelle, que je dois à l’amour sans limites de Philippe. C’est en ayant compris cela que j’ai finalement préféré Philippe à Hassan qui, certes était un amant bien plus performant, mais qui m’étouffait par une jalousie maladive et me refusait la liberté que m’accordait et m’accorde Philippe.
    
    Ce récit est donc l’histoire de l’une de mes plus belles nuits avec Philippe, avec bien entendu la première (voir récit n°3) où j’avais enfin été à lui et lui à moi, et aussi, sur un registre plus pervers, la soirée de la noce avec Hassan, lorsque je suis devenue adultère avec Philippe (récit n°34).
    
    LA SUITE DE NOTRE NUIT DE NOCES
    
    La première partie de notre nuit avait été candauliste (voir récit n°39) et destinée à apaiser mes envies d’hypersexuelle, quand je m’étais offerte, en présence de Philippe, à ces deux types qui m’avaient baisé comme la dernière des salopes. J’avais aussi fait cela pour satisfaire le candaulisme de mon chéri.
    
    J’étais repue, ivre de plaisir, mais j’avais surtout envie d’autre chose. J’avais envie de Philippe et je savais qu’il avait envie de moi.
    
    Je commençais par le défaire de ses liens, car il avait été attaché au fauteuil pendant que les deux types me besognaient.
    
    Je me suis mise à genoux devant Philippe. Sa bite, ses couilles, ses cuisses et son ventre étaient maculés de foutre, car, même sans pouvoir se toucher, ...
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