Vilaine maman - Histoires de Sexe

Vilaine maman

... fini ? Je suis déçue pour vous. C’est dommage, non ? C’était une belle histoire… Et puis t’as dû rester sur ta faim… un grand garçon comme toi…

Elle est féroce. Elle croise les bras et me demande :

— Alors… ? On fait comment maintenant ? Tu t’en sors comme ça ? Vite fait bien fait, ni vu ni connu… comme d’habitude… Pas vu, pas pris…
— Ah ben là, pour le coup… c’est plutôt « bien vu, bien pris », non ?
— J’adore ton humour, Jeff. T’es irrésistible…

Je ne sais vraiment plus quoi dire. Il me semble pourtant qu’elle a obtenu ce qu’elle voulait. Aveux complets et contrition. Que veut-elle de plus ? Me faire payer ma vilenie à sa façon ? Elle ne me laisse pas le temps de gamberger davantage et me balance :

— Je vais te dire ce que je pense, Jeff… Je pense que t’es un gros cochon.

OK… Ça, c’est fait. J’attends la suite…

— Et un gros cochon comme toi… ça mérite une punition…

Elle pose les coudes sur la table, et sa tête dans la paume de ses mains. Elle me fixe intensément et j’ai du mal à soutenir son regard. Elle est vraiment belle. Elle est même classe. Dans le triangle que forment ses avant-bras, je vois ses deux gros seins se comprimer de façon totalement indécente. Putain, y a du monde… Elle a évidemment remarqué où vient de se porter mon attention. J’aurais dû être plus discret, mais ça m’a comme aimanté. Et puis je me demande si elle n’a pas fait exprès de me présenter ses attributs aussi ostensiblement pour me tester. Elle fronce les sourcils. L’air ...

... inspiré, elle dit :

— Mais avant ta punition… tu vas d’abord répondre à une question. Et tu vas y répondre franchement…

Le genre de préambule qui ne me dit rien de bon.

— Je t’écoute.

Et la question tombe :

— Est-ce que tu bandes ?

J’ouvre de grands yeux :

— Pardon !?

Toujours appuyée sur ses coudes, elle joint maintenant ses mains très calmement sous son menton :

— T’as des problèmes d’audition ? Arrête de dire « Pardon » tout le temps, c’est énervant. Et puis ici, c’est moi qui pardonne… ou pas. Alors je répète la question : est-ce que tu bandes ? Autrement dit, es-tu en érection ? Est-ce que là, tout de suite, maintenant, au moment où je te parle… est-ce que dans ton pantalon… ta queue est grosse et dure ? Est-ce que tu bandes, quoi ?

Qu’est-ce qu’elle me fait ? Elle est extra-lucide ou quoi ? Confus, je bredouille :

— Comment tu…

Elle me coupe sèchement :

— Je t’ai demandé de répondre franchement… Est-ce que tu bandes ? Oui ou non ?

Il va bien falloir que je réponde…

— Ben euh… (je me racle la gorge et prends une grosse inspiration)… ouais… comment tu sais ?
— Je te l’ai dit… C’est parce que t’es un gros cochon. Et puis parce que t’arrêtes pas de te tortiller sur ta chaise… T’es pas à l’aise dans ton jean ou quoi ? Elle est si grosse que ça ?

Je suis KO. Elle n’a pas les yeux dans sa poche. Je me sens comme un petit gamin qui se fait tancer par la maîtresse. Et la maîtresse semble de plus en plus maîtresse d’elle-même. Elle ...