Un retour inattendu de "mes" femmes...
Datte: 21/01/2021,
Catégories:
fh,
fbi,
amour,
volupté,
intermast,
ecriv_c,
Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe
... dans la salle de bains en me lançant :
— Et voilà ! Pour bien commencer la journée !
J’en reste coi, les yeux illuminés, gardant quelques secondes dans mes prunelles, ces seins superbes, ces fesses rebondies qui m’ont nargué en s’échappant…
o-o
Nous prenons le petit déjeuner dans la bonne humeur.
— Pour la nuit prochaine, on s’organise pareil, me dit-elle. Tu dors, au moins. Et je n’ai pas froid ! Donc tout va pour le mieux !
— Oui ! C’est bien, on est sages, et c’est plus confortable ! Mais attention aux provocations, comme ce matin… lui dis-je en souriant.
— Tu parles de TA provocation ? susurre-t-elle. Et elle était… magnifique ! Tu bandais comme un taureau ! Recommence pas ça… hein ?
— Quoi ? Tu charries ! Tu étais plus que nue avec ton peignoir ouvert !
— Obsédé ! me lance-t-elle. Un peignoir ! Et hop ! Monsieur bande ! Je te préviens, je ne suis pas une sainte, pas encore, et la prochaine fois…
Je m’insurge, continuant ces jeux que nous avons largement pratiqués.
— Pour toi, de même, le plus petit morceau de chair un peu érotique… et hop ! je te viole !
— Chiche ! me défie-t-elle. Le premier qui est provoqué viole l’autre… D’accord ?
Et on se tape dans la main, en riant, comme deux maquignons. N’empêche, le jeu est dangereux…
o-o
Quelques jours coulent ainsi. Un début de routine où nous nous observons, prenant garde l’un et l’autre à toute situation pouvant mettre le feu aux poudres…
Clara court les agences et se comporte en ...
... parfaite femme d’intérieur.
Nous dormons serrés l’un contre l’autre, en toute innocence, presque comme frère et sœur. Les soirées se passent en discussions animées, sur tous sujets.
Le moment sensible est toujours celui du coucher, où là, le contact de nos corps nus est délicieux… et éprouvant. Quelques secondes pendant lesquelles nos pulsions sont à maîtriser. Souvent, un chahut permet de les évacuer, et le lit est à refaire complètement… Reste que l’inévitable est omniprésent. Hypocrite, en fait, je le souhaite… Comment résister à cette créature faite pour l’amour ? Combien de temps tiendrons-nous ? Si demain elle trouve l’appartement de ses rêves, ça ira mieux. Au moins, cela nous permettra de mettre de la distance.
Un soir pourtant, alors que nous avions regardé à la télé un film comportant plusieurs scènes un peu chaudes, Clara s’était serrée contre moi en me prenant la main. Au lit, dans notre position favorite, collée à mon dos, je la sens énervée. Elle soupire, remue, cherchant sa position.
« Malaise » communicatif ? En tout cas, je sens en moi aussi monter le désir. Une brutale envie de la câliner, de la faire jouir, de la sentir femme… Et sachant comme elle sait le rendre ! Une pression de sa main sur mon épaule, son ventre qui se presse sur mes fesses, et enfin un « Jean-Pierre… » d’une voix changée, qui ne trompe pas… Sa main m’invite à lui faire face, doucement. Je me retourne. Nous sommes bouche à bouche, yeux dans les yeux…
Trop tard ! L’inévitable va ...