1. Quiproquo


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fh, inconnu, grosseins, essayage, intermast, Oral fist, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: GillesP, Source: Revebebe

    ... Pourquoi l’ai je blottie contre ma joue ? Pourquoi ma bouche s’est-elle rapprochée de son oreille ? Pourquoi ai-je murmuré « je t’aime » ?
    
    Le verbe à peine lâché, elle a reculé sa tête, m’a regardé droit dans les yeux. Ses pupilles se sont dilatées. J’ai vu de mes yeux quelques larmes naître au bord de ses paupières. Des larmes ont coulé le long de ses joues. Son regard n’a pas quitté le mien, nos cils se sont arrêtés de battre. Nous sommes restés comme cela, sans rien dire un long moment. Puis elle a retiré son pull, je n’ai pas même baissé les yeux pour lorgner sa poitrine. Elle a retiré son soutien-gorge toujours sans quitter mes pupilles. Je portais une chemisette en lin que m’avait offerte ma fille aînée pour la fête des pères. Elle en défit un à un les boutons en les devinant du bout des doigts. Ses yeux baignés de larmes restaient rivés dans les miens. Elle parvint sans peine à ôter mon vêtement.
    
    De mes pieds, je m’affranchis de mon pantalon qui avait bien trouvé le temps de descendre tout seul. Je quittais mes chaussures pendant qu’elle faisait glisser son jean et ses derniers dessous.
    
    Nous étions nus. Nous étions seuls au monde.
    
    Elle entoura mon cou de ses mains, se suspendit un cours instant, le temps d’encercler mon bassin de ses jambes. Mon sexe est entré dans son sexe mouillé. Comme ça. Sans aucune protection. Sans qu’aucune crainte ne nous ai effleurés. Comme s’il nous formions un vieux couple.
    
    Elle m’a embrassé à pleine bouche, nous ne respirions ...
    ... plus. Mon corps l’a conduite contre la paroi de la cabine. J’ai donné l’assaut. Les cloisons tremblaient. Sa voix laissa échapper des râles d’abord contenus, puis elle mugit comme mugissent les lionnes. Les deux mètres carrés de la cabine connurent l’extase, la folie des corps déchaînés, le tumulte des plaisirs incontrôlés. Ma verge baignait dans son sexe ouvert. Le clapotis de nos sexes, jouant de leurs parois, rentrait en harmonie avec le bruit sourd de son corps martelé contre la cloison. Ses râles venaient compléter l’orchestre de nos sens. Elle haletait, lâcha ma bouche pour ne plus venir que titiller ma langue du bout de la sienne. Nous étions seuls, nous étions impudiques, nous étions insouciants. Nos deux langues devenues vipérines se léchaient l’une l’autre comme elles le feraient sur un clitoris.
    
    Mes deux mains, qui maintenaient ses fesses à la hauteur de mon bassin, les malaxaient au rythme de mes coups de pilon. Je la voulais toute entière. Ma langue occupait sa bouche. Mon sexe habitait son vagin. Mes doigts s’insinuaient avec précision entre ses fesses. Je regrettais de n’avoir aucune une autre extrémité à lui offrir. Je voulais être en elle. Ni les deux doigts qui la sodomisaient avec force, ni ma langue qui masturbait la sienne, ni ma queue qui la fouillait avec rage ne me suffisaient. Il me fallait plus, il me fallait l’absolu, il me fallait l’amour. Je sentais des torrents de sentiments, ceux que j’avais enfouis pendant six mois, venir du plus profond de ...
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