1. Amandine


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr, Auteur: Pierre-Renard, Source: Revebebe

    ... tiens à ne faire qu’un avec elle.
    
    Je reprends la direction des opérations en la forçant à se remettre sur le dos ; elle ne résiste pas beaucoup ! Je reviens avec ma bouche au niveau de son sexe, ma langue recommence à titiller son intimité et mes doigts à jouer du piano autour de son anus (parfois un doigt allait s’attarder à l’intérieur). En fonction de la rapidité de mes caresses, elle ahane plus ou moins rapidement bouche entrouverte, yeux fermés, jambes grandes ouvertes. Je sens que ma verge, gorgée de sang, a besoin de se soulager. Alors sans rien dire, je me redresse, je prends son bassin dans les mains pour la soulever un peu, positionnant ses jambes sur mes épaules et je la pénètre de mon sexe d’un grand coup. Cela se fait sans problème car son sexe, depuis le début des premières étreintes, s’est transformé en fontaine tant elle secrète de mucus vaginal.
    
    Ce n’est plus un ahanement qui sort de sa bouche mais une suite de grands cris (aaaah… aaaah… aaaah). Leur fréquence est calquée sur ma manière d’agiter mon sexe dans le sien. Elle me facilite les choses car son pubis vient en rythme à la rencontre de mon bas-ventre. Comme je ne veux pas jouir de suite, dès que je sens que je vais exploser, je ralentis. Elle a entouré mes épaules de ses bras et, à chaque cri, elle enfonce ses ongles dans mes épaules.
    
    Mon but est de l’amener à l’extase parfaite. Naturellement, cela ne dure qu’un temps car je ne peux pas tenir longtemps ces rythmes réfléchis et j’accélère mes ...
    ... mouvements de va-et-vient en soufflant comme un bœuf. Je ne mets longtemps à décharger en elle en poussant un grognement. Je suis récompensé dans mon labeur par la manière dont elle se cabre au moment où je jouis et les grands cris qu’elle pousse. Je suis en sueur, elle n’est pas en reste. Je gagne aussi quelques griffures sur mes épaules.
    
    M’étant retiré, je me couche à côté d’elle ; elle vient dans mes bras, me regarde avec ses yeux noirs. Elle me susurre alors à l’oreille :
    
    — Merci. Que je t’aime !
    
    Je lui mets alors de doux baisers sur ses yeux, ses lèvres et, enlacés nous nous endormons alors, serrés l’un dans l’autre.
    
    Ce n’est que le début d’un long après-midi où nous allons explorer mutuellement nos corps les faisant vibrer par nos jeux sexuels. Amandine veut tout connaître de nos possibilités. M’étant réveillé le premier de notre petite sieste post-coïtale, je recommence à la câliner avec mes mains, ma bouche, ma langue prenant connaissance de tout son corps. Naturellement, je la réveille mais elle fait celle qui dort tant qu’elle peut le faire. Elle se trahit quand elle se remet à gémir. Elle rend alors mes baisers, mes caresses. Elle me serre fortement dans ses bras quand mon sexe redevient tout dur et elle me susurre alors à l’oreille :
    
    — Mat… prends-moi par derrière.
    
    Je ne dis rien mais, en moi-même, je me fais la réflexion qu’il faut qu’elle apprenne le terme de « levrette ». Pour moi cela ne pose pas de problème car ma verge est plus que tendue et ...