1. Amandine


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr, Auteur: Pierre-Renard, Source: Revebebe

    ... mains se traduit par une augmentation auditive de ses ahanements qui allaient devenir cataclysmiques quand un de mes doigts s’est introduit de façon brusque au plus profond de son anus. Que n’ai-je pas fait ? Amandine se cabre alors en poussant un grand cri et retombe en tremblant de tous ses membres et reste sans voix, yeux fermés. Elle vient d’avoir, sans que je le sache, son premier orgasme.— Je vais mette de l’apésyl sur tes fesses pour qu’elles te brûlent moins.Confuse, mais je pense très déstressée, elle reprend sa position sur la table sans le traversin qui est tombé sur le plancher. Moi, j’arrête de la titiller, je vais chercher le tube d’apésyl et je lui enduis les fesses et les cuisses avec. Cela me permet de voir le résultat de la fessée donnée ; les traces du cinglage sont bien visibles ; certaines sont boursouflées mais toutes dessinent des barres transversales (j’en compte quatorze bien visibles dont cinq très marquées) sur ses deux fesses mais il n’y a aucune trace de blessure.Pendant au moins cinq minutes je lui masse (plutôt caresse) les fesses et le haut des cuisses ; elles sont fermes, pas trop musclées et d’une douceur incomparable. J’aimerais bien être son coquin car cela doit être agréable d’y déposer ses lèvres. Je dois dire que durant toute cette période je ne l’entends plus pleurer et elle respire paisiblement. Amandine est la tête dans ses oreillers et je ne vois pas comment je pourrais la faire changer de position.Une fois l’opération « tartinage » ...
    ... effectuée, je retourne dans la salle de bain pour me laver les mains et déposer le tube d’apésyl. Je traîne un peu car je ne sais pas comment gérer la suite. J’ai Amandine sur les bras, je considère la punition comme finie et il faut qu’elle retourne chez elle.Je reviens dans la salle de séjour pour m’apercevoir qu’Amandine n’est plus la tête dans l’oreiller mais s’est retournée dos sur la table, jambes un peu relevées en position plus ou moins écartées, pieds à plat sur la table. Elle a les yeux dans le vague, elle ne pleure plus et, par moment, un petit sourire se dessine sur ses lèvres légèrement entrouvertes. Je peux admirer son pubis et ses grandes lèvres, recouverts d’une toison noire et courte laissant apparaître une strie médiane très humide, couleur chair. Elle ne cache rien de son intimité.À mon entrée elle ne montre aucune gêne, écartant encore plus ses cuisses. J’ai l’impression qu’elle me provoque. Ne serait-elle pas en train de se dire : « Eh bien vas-y, viole-moi maintenant » ? Je m’approche d’elle, elle ne fait rien pour refermer ses cuisses, elle renforce sa position sur le dos en positionnant ses bras à plat de chaque côté de son corps comme une invite à aller plus loin.La vue de son sexe entrouvert à moitié caché par ses poils pubiens, « noir profond », me rend tout chose et je dois avouer que cela m’excite, ma verge s’allonge et se durcit, trouvant l’espace qui lui est imparti de plus en plus restreint. J’utilise alors dans mon subconscient la méthode Coué ...
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