1. L'ouvre-lettres


    Datte: 01/05/2018, Catégories: ffh, hplusag, jeunes, couplus, extracon, strip, Oral 69, pénétratio, exercice, Auteur: Caracole, Source: Revebebe

    ... sa place, maintenant, de ce splendide corps nu qu’il avait invité jusqu’ici, sur son lit conjugal, prétendant le baiser. Et lui se contentait de faire le meuble, toujours pétrifié par la surprise et la honte.
    
    Elles m’oublient ou quoi ?
    
    Seins contre seins, elles s’embrassaient à pleine bouche, se caressaient comme deux amants qui ne se sont pas vus depuis des semaines. Était-ce entre les cuisses de Pauline que la main de Cristina avait disparu ? Une chose était certaine : l’étudiante était en train de faire glisser la jupe de sa femme.
    
    Le corps fin et musclé de cette dernière était à présent entièrement nu. Sa croupe cambrée, qu’il aimait tant, était un supplice. Que n’aurait-il donné pour la prendre là maintenant ? Il n’avait pas su s’en contenter. Il ne la toucherait sans doute plus jamais. Toujours sans le regarder, Cristina se glissa au-dessus de sa maîtresse, jusqu’à sa bouche. Docile, celle-ci entreprit de la lécher amoureusement.
    
    Elles sont plus que de simples maîtresses…
    
    Ce n’était pas l’une de leurs premières fois, c’était certain. Il y avait des gestes de tendresse, entre elles, qui allaient au-delà de la simple complicité criminelle. La manière dont Pauline léchait le con de Cristina, la manière dont celle-ci ondulait doucement du bassin en lui caressant les cheveux, les yeux vissés dans les siens, tout concourait à cette évidence : elles s’aimaient. Ce n’était plus de la honte, à présent, qui le submergeait, mais une jalousie verte, virile. Et tout ...
    ... ceci se mélangeait toujours à l’excitation.
    
    Putain, elle se fait brouter devant moi… Elle m’a trompé avant ! Salope !
    
    Jamais il n’avait su ce penchant. Elle avait même toujours prétendu que les femmes la répugnaient. Mais là, elle se caressait, jouant de ses cheveux, tournant sa vulve au-dessus de la bouche offerte avec impudeur, comme elle le faisait au-dessus de lui quand ils faisaient l’amour.
    
    Alors elle lui lança un regard qui le fit chavirer, son délicieux sourire révélant une nouvelle fois ses dents blanches.
    
    — Je te trouve bien long à la détente, chouchou. D’habitude, tu n’es pas aussi timide…
    
    C’était un rêve et il allait s’éveiller. Ce n’était pas en train de lui arriver. Sa femme n’était pas en train de l’inviter à la partager avec une autre, de quatre ans sa cadette. Il n’allait pas baiser ces deux femmes dont leurs deux âges réunis n’égalaient pas le sien. Et pourtant, comme monté sur ressort, il se dressa, dans tous les sens du terme. Son sexe était déjà sorti lorsqu’il arriva à portée de main de Cristina, qui le prit doucement dans sa main, toujours chevauchant la jeune étudiante. Il répondit à l’appel de ses lèvres tendues pour un baiser fougueux. Lorsqu’il en sortit, comme étourdi, il essaya de parler :
    
    — Cristina, je… Qu’est-ce que… ?
    — Chhhht ! mon chouchou… Elle ne te plaît pas ma surprise ?
    — Si… si… mais…
    — Mais quoi ? Ne me dis pas que Pauline ne te plaît pas… Je sais que vous avez déjà baisé ensemble…
    
    Bien évidemment qu’elle le ...