1. L'oiseau en cage


    Datte: 01/05/2018, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, contrainte, jouet, jeu, attache, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... organes. Aussi je tentai de me concentrer sur autre chose et je me récitai la table des 27 : 27x2 = 54 ; 27x3 = 81 ; et je me mis à prononcer à voix haute : « 27 fois 4… 4x7 = 28, je retiens 2, 4x2 = 8, cela fait 108… »
    
    Arrivée à 243, je me retirai soudain.
    
    — Tu es vraiment nul ! Cela ne va pas durer 107 ans ? On s’arrête là et on verra demain.
    — Maaaiiiis…
    
    Il me supplia mais je fus intraitable :
    
    — Un deal, c’est un deal. Tu n’es pas capable de me donner du plaisir ce soir : peut-être que la nuit te donnera plus d’énergie et de motivation.
    
    Je ne sais pas comment il ne se rebella pas.A posteriori, je pense que c’est l’influence de tout ce qu’il avait vécu pendant cette longue journée. J’avais réussi à me mettre dans une position de domination absolue. J’avais gagné la bataille de l’autorité. Le pouvoir de manipulation était passé pleinement et irrévocablement de mon côté.
    
    J’étais quand même toute excitée, et le moins que l’on puisse dire est que cette dernière phase m’avait mise dans un état de frustration dans lequel je ne pouvais rester. Je l’expédiai dans le séjour et je pris le petit galet vibreur qui se trouve toujours dans ma table de nuit. Je n’avais pas besoin de lubrifiant, j’étais toute mouillée. Je le réglai sur la vitesse mini, au rythme lent et sourd et accélérai progressivement jusqu’à ce que j’explose.
    
    Lorsque je sortis de ma petite mort, j’allumai la télé et l’invitai à revenir dans la chambre et à me rejoindre sous la couette. J’adore me ...
    ... faire coller dans le lit, j’adore la cuillère, j’adore me sentir enveloppée, j’adore sentir ses attributs contre mes fesses. La petite cage était toute chaude et cela ne me changeait pas trop de d’habitude. Lui, je ne sais pas : il devait à moitié exploser, là-dedans. Épuisée, je me suis endormie alors que la télé marchait.
    
    ***
    
    Le lendemain, après le même petit rituel que le samedi matin, lorsqu’il eut préparé le petit déjeuner, qu’il fut revenu me chercher dans la chambre pour me parcourir le cul de bisous, nous prîmes le petit déjeuner et nous nous préparâmes pour aller courir.
    
    Personnellement, j’étais en pleine forme ; mes pieds rebondissaient tout en fluidité sur le macadam. Il ne semblait pas en être de même pour mon petit chéri, pour qui le jogging était apparemment laborieux. Je n’avais pas besoin d’exiger qu’il me suive au lieu de me précéder comme il en a l’habitude avec l’avantage de la testostérone ; il semblait lourd et lent ce dimanche matin. Mais cela ne m’étonnait qu’à moitié : il m’avait bien semblé, au cours de la nuit, qu’il tournait et se retournait sans arrêt dans le lit ; il n’avait pas dû dormir beaucoup…
    
    Lorsque nous rentrâmes, nous fîmes nos étirements. Les « petites bulles » que les endorphines de la course envoyaient en moi m’avaient mise dans un état terrible. J’éprouvais un violent et bestial besoin de sexe, accentué par la vision de son cul dans son short moulant. Je l’entraînai dans la chambre et le déshabillai brutalement, jetant ses ...
«12...891011»