1. L'oiseau en cage


    Datte: 01/05/2018, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, contrainte, jouet, jeu, attache, Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe

    ... mains, me collant contre son dos, me frottant contre ses fesses. Mes mains atteignirent ses tétons que je pinçotai. C’est une de mes grandes victoires : avoir réussi, à force d’entraînement, à les lui rendre aussi sensibles que ceux d’une femme.
    
    Soudain, je lui ordonnai de s’arrêter et de fermer les yeux. Je saisis deux pinces à linge dans le petit tiroir à côté de la machine à laver et je les lui mis à l’extrémité des tétons.
    
    — Aïïïïeeee ! Je te supplie, Princesse, cela fait trop mal…
    — …
    
    Je me contentai de l’observer d’un air froid. Il haletait de douleur et roulait des yeux humides en me regardant d’un air de désespéré. Mais je savais que ce devait être parfaitement supportable ; ces pinces ne sont pas trop violentes, je les ai essayées sur mes doigts. Et d’ailleurs, s’il souffrait vraiment sérieusement, il aurait utilisé notre mot de passe.
    
    — Une minute de punition ; tu mérites bien ça pour le petit déjeuner froid de ce matin. Et qu’est-ce que c’est que ces manières de vicieux de me guetter derrière la porte des WC ?
    
    Je consultai ma montre : « 60, 59, 58, 57, 56… » Je pris quelques libertés avec la durée des secondes dont certaines devaient en durer 10, mais c’était juste pour lui faire ressentir l’injustice de sa condition qui allait de pair avec l’étendue de mon pouvoir.
    
    Je les lui enlevai enfin et ne pus résister à l’envie de lui léchouiller ses tétons qui avaient rougi et qui devaient être tout à fait sensibilisés. Il se mit bien vite à gémir : ...
    ... plaisir et douleur mélangés, pensai-je. Quant à moi, j’avais bien envie de me laisser aller en lui demandant de me rendre la pareille, tant cela m’excitait. Mais ce n’était pas le programme. Et puis, il fallait bien que le repas se prépare.
    
    ***
    
    Le dîner s’était bien passé ; c’est un fin cuisinier, et les huîtres chaudes et les filets de bar qu’il avait préparés étaient excellents. Je n’avais pas envie de jouer un rôle, juste de savourer le repas en regardant la télé et en bavardant de choses et d’autres. Je ne m’étais même pas amusée avec la clef. Je n’en avais pas besoin d’ailleurs, j’avais bien remarqué qu’il avait parfois des difficultés à suivre la conversation lorsqu’il lorgnait de temps à autre dans mon décolleté. Ce regard porteur de plein de promesses me faisait chaud, au moins autant que le Pouilly-Fuissé.
    
    Après le dîner, il est allé débarrasser la table et garnir le lave-vaisselle tandis que je regardais distraitement la télé. Je songeais à la suite et je n’avais aucune envie d’arriver tout de suite au coup numéro 3 qui marquerait la fin de mon emprise. J’avais une très forte envie de repousser la conclusion de notre petit jeu au lendemain, même si nous n’avions encore jamais dépassé une journée et qu’il s’attendait sans doute à une fin rapide de son supplice. Nous savourâmes nos décaféinés avec l’habituel carré de chocolat. Je faisais durer les choses, sans tenir compte de ses appels de regard.
    
    La phase délicate allait approcher et je jouais nerveusement ...
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