1. 1709 - Les Cinq-Bois


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, historique, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... profite de la situation, je l’embrasse tout en égarant une main sous ses deux jupons légers. Elle ne s’oppose nullement à mon baiser, ni à ma main, écartant même les jambes pour que je puisse mieux remonter. Mes doigts touchent son petit bosquet, puis dénichent dans son nid douillet, un mignon bouton que je taquine avant de m’en occuper plus assidûment. Elle soupire d’aise, jambes largement écartées pour me faciliter la tâche.
    
    Son petit con est déjà tout détrempé, je me fais un plaisir de cueillir sa mouille pour mieux agacer son clitoris bien roide. Je m’amuse à décrire de larges cercles taquins autour de cette tour érigée, le frôlant très souvent, sciemment !
    
    Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour qu’elle jouisse malgré les chaos du chemin. Ou peut-être aidée par ceux-ci… Elle se pelotonne contre moi, comme très souvent après être repue. Je l’enlace. Elle reste blottie ainsi. J’aime ces instants.
    
    Soudain, elle me lance :
    
    — Et vous ?
    — C’est-à-dire ?
    — Vous n’avez pas envie que je vous prenne dans ma bouche ?
    — Est-ce bien prudent avec les chaos du chemin ? Vous avez de belles dents, mais elles savent mordre, même si c’est malgré vous…
    — Vous pouvez éjaculer sur mes seins…
    — Merci de cette attention, je préfère prendre ma revanche ce soir dans un lit moelleux !
    — Comme vous voulez…
    
    Elle change soudain de conversation :
    
    — Votre ami, bien que militaire, n’est-il pas parti à la guerre qui sévit partout sur nos frontières ?
    — Moi-même, je ne suis pas ...
    ... non plus face à l’ennemi… Il y a des rotations, et je reconnais avoir fait jouer quelques appuis pour ne pas être éloigné de vous, ma chère Angeline…
    — Merci, mon cher mari d’apprécier ma présence. Mais si cela arrivait, je vous accompagnerais partout afin d’être toujours à vos côtés.
    — J’en suis fort heureux, mais je m’en voudrais qu’il vous arrive quelque chose, car un champ de bataille n’est pas une partie de plaisir, même si avec votre présence, il en serait plus égayé !
    
    Elle me bouscule légèrement :
    
    — Oh, François-Philippe, vous exagérez !
    — Pas du tout ! Il est fort aisé de combattre quand on sait que le soir même, on combattra à nouveau dans de fort jolies conditions…
    
    Elle ne répond rien, se contentant de me fixer, les yeux brillants. Je m’approche d’elle, bien décidé à cueillir un baiser sur ses lèvres sucrées, et même plus. Soudain, le carrosse s’immobilise. Intrigué et un peu dépité, j’ouvre un petit volet puis je passe la tête dans l’écoutille qui sépare les deux cochers :
    
    — Que se passe-t-il, mes braves ?
    — Je ne sais pas où il faut aller, maintenant, Monseigneur, je ne suis jamais venu jusqu’ici…
    — À Quend, comme convenu. Nous avons dépassé la ville de Rue, il y a quelques lieues déjà, nous en sommes à présent très proches. Je dirais qu’il y a tout au plus deux lieues ensuite.
    — Oui, Monseigneur, mais… il y a un carrefour et je ne sais point où aller.
    — Ah ! Je viens voir…
    
    Je sors du carrosse, le vent souffle actuellement assez fort dans le ...
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